ACTE PREMIER - Scène VII



(LES MÊMES , ETIENNE , PUIS , PLUS TARD , TOUS LES PERSONNAGES QUI ÉTAIENT AVEC ETIENNE DANS LA PIÈCE VOISINE .)

ETIENNE(arrivant et s'arrêtant à hauteur d'Amélie, mais au-dessus du canapé. )
Qu'est-ce qu'il y a?

AMÉLIE(à moitié suffoquée par son rire. )
Voilà madame qui… ah ! ah ! ah !

ETIENNE(s'inclinant. )
Madame !

AMÉLIE
… qui vient tout affolée me demander…

IRÈNE(interrompant vivement. )
… au nom de mon amie !

AMÉLIE(pour lui donner satisfaction. )
… d'une de ses bonnes amies…

ETIENNE
Aha !

AMÉLIE
… s'il est vrai que j'épouse Marcel Courbois…

ETIENNE(étonné et amusé. )
Marcel !

AMÉLIE
L'amant de mad !… (Corrigeant vivement sur un geste d'Irène.)
de l'amie de madame.

ETIENNE
Marcel ! toi ! toi ! Ah ! ah ! ah ! ah ! ah !… Ah ! que c'est drôle !

AMÉLIE(se laissant tomber sur le canapé. )
Hein !
(Ils se tordent de rire.)

IRÈNE(moitié riant, moitié pleurant. )
Ah ! vraiment? Oui?… C'est… si drôle que ça?

LES DEUX(se tordant. )
Ah oui !… Oui !…

IRÈNE(de même. )
Que je suis contente ! Vous ne sauriez croire combien je suis contente.

ETIENNE
Vraiment?

IRÈNE(de même. )
Je ne comprends pas ce qui vous fait rire; mais je vois que vous riez et… et ça me fait du bien.

ETIENNE(la considérant avec un sourire édifié et sympathique. Malicieusement. )
Ah ! madame ! que vous aimez donc bien madame votre amie.

IRÈNE(pataugeant. )
Hein ! oui… non !… je…

AMÉLIE(avec bonhomie. )
Vous voyez, ça ne trompe personne.

IRÈNE(avec décision. )
Ah ! et puis, maintenant, j'en ai pris mon parti !
(Tout en parlant, elle a gagné jusqu'à la chaise descendue par Amélie près du canapé.)

ETIENNE(s'avançant entre la chaise et le canapé mais un peu au-dessus. )
Marcel Courbois ! Mais qui a pu vous faire supposer?

IRÈNE(s'asseyant sur la chaise près d'Amélie assise sur le canapé. )
Eh ! bien, voilà: c'est ce matin. Comme c'était dimanche, j'étais allée à la messe de onze heures…

ETIENNE
Ah?

IRÈNE
… la passer chez lui.

ETIENNE(assis sur le bras gauche du canapé. )
Ah ! bon !

IRÈNE
Dame ! Vous comprenez: étant marié, on n'est pas libre comme on veut !… Alors, comme il s'habillait…

ETIENNE(corrigeant malicieusement. )
Se "rhabillait", sans doute, vous voulez dire.

IRÈNE(très ingénument. )
Non !… Il n'était pas encore levé, quand je suis arrivée…

ETIENNE
Ah ! ah !… Vous m'en direz tant.

IRÈNE
Alors, histoire de passer le temps, j'ai fouillé un peu dans ses papiers.

ETIENNE
Ben… naturellement !

IRÈNE
… et j'ai trouvé une lettre !… Ah ! cette lettre ! ou plutôt le brouillon d'une lettre que Marcel avait écrite à son parrain et dans laquelle il lui annonçait son prochain mariage avec mademoiselle Amélie d'Avranches.

AMÉLIE(à Etienne. )
Moi ! Crois-tu?

ETIENNE
C'est insensé ! Qu'est-ce que ça veut dire?

AMÉLIE(avec un geste d'ignorance. )
Ça !

ETIENNE(se levant. )
Vous n'avez pas demandé à Marcel?

IRÈNE(se levant également et comme saisie de peur à cette idée. )
Oh ! non, non ! J'aurais eu trop honte !… Songez donc, si la chose avait été vraie !… Et puis, étant donné la façon dont j'avais surpris la chose !

AMÉLIE(se levant. )
Vous avez préféré vous adresser à moi.

IRÈNE(bien gentiment, bien franchement, avec un recul d'un pas. )
Oui !

ETIENNE
Tout ça est incompréhensible ! (Au-dessus d'Irène, gagnant la gauche tout en parlant.)
Ecoutez, madame, je ne suis pas en mesure de vous donner la clef de ce rébus. Quand je verrai Marcel, je lui demanderai. En tout cas, tranquillisez-vous ! Je vois que vous vous intéressez à Marcel…

IRÈNE(tandis qu'Amélie remonte lentement de façon à arriver peu à peu n° 2. )
Si je m'y intéresse !…

ETIENNE(malicieusement. )
Oui !… Vous me diriez le contraire que je ne vous croirais pas ! Eh ! bien, je vous garantis que vos appréhensions sont sans objet. Je connais Marcel à fond; c'est mon meilleur ami…

IRÈNE(lui coupant la parole, avec émotion. )
Ah !

ETIENNE(comme preuve de ce qu'il avance. )
Je suis son confident, comme il est le mien. Et le seul fait qu'Amélie est mon amie, suffit pour que…

IRÈNE(le couvant des yeux. )
Vous êtes son confident !

ETIENNE
Toutes ses pensées, il me les confie.

IRÈNE(radieuse. )
Mais alors… vous me connaissez…

ETIENNE(interloqué, avec hésitation. )
Moi?… Mais… non, madame !

IRÈNE(navrée. )
Ah?… Oh ! Il ne m'aime donc pas alors?

ETIENNE
Pourquoi donc?

IRÈNE
Mais parce qu'il n'a pas éprouvé le besoin… !

ETIENNE
Mais ce n'est pas ça, madame ! mais son devoir de galant homme…

IRÈNE
Justement ! Quand on aime vraiment, il y a au-dessus du devoir de galant homme, le besoin d'avoir un confident pour parler de l'être qu'on aime. Mais moi, monsieur ! moi, madame ! j'ai une amie qui a un caractère odieux !… Je ne l'ai que pour parler de lui !… Celui qui, peut rester confiné dans son devoir de galant homme, n'aime pas sérieusement !

AMÉLIE
Comme c'est vrai?

ETIENNE
Allons, madame, je vois que j'ai tort de le faire à la discrétion ! Eh ! bien, oui, je vous connais !… Je vous connais, (Avec intention.)
madame la comtesse !

IRÈNE(RADIEUSE .)
"Madame la comtesse" ! Il vous a mis au courant ! (Tout en gagnant vers le canapé.)
Ah ! c'est bien ! C'est bien, ça ! C'est bien !
(Elle tombe assise sur le canapé.)

AMÉLIE(FRAPPÉE PAR LA PHRASE D'ETIENNE .)
"Madame la comtesse"? (Brusquement, tout en gagnant vers Irène.)
Mais oui, j'y suis ! J'écoutais votre voix depuis un instant… Je me disais: "Je connais ce timbre !" Mais voilà ! "Madame la comtesse", ça m'éclaire !… Ne seriez-vous pas madame la comtesse de Prémilly?

IRÈNE(relevant son voile. )
Hein ! Vous me connaissez !

AMÉLIE(entre la chaise et le canapé. )
Mais vous-même, madame, tout à l'heure, ne me reconnaissiez-vous pas?

IRÈNE(la lorgnant avec son face-à-main. )
Ah ! mais alors, c'était bien ça ! Je ne me trompais pas Amélie !

AMÉLIE(achevant sur le même ton qu'Irène. )
… Pochet !

IRÈNE(de même. )
… mon ancienne femme de chambre.

AMÉLIE(avec une révérence. )
Elle-même.

IRÈNE(sur un ton de compassion. )
Oh ! ma pauvre enfant !

ETIENNE(qui s'est rapproché d'Amélie. Avec une légère tape sur le bras. )
Tu as été femme de chambre, toi !

AMÉLIE(se retournant vers Etienne. )
Ah ! zut ! Je ne pensais plus que t'étais là ! (A Irène, en se mettant la main sur la bouche.)
Oh ! pardon, madame !

IRÈNE
Quoi?

AMÉLIE(gentiment confuse. )
J'ai dit: "Zut !".

IRÈNE(avec un geste d'insouciance. )
Oh !… (La considérant à travers son face-à-main.)
Comment, c'est vous !… Oh ! il me semblait bien ! seulement j'hésitais, n'est-ce pas?… Ce changement de situation !… Ce cadre tout autre !… Sans compter les cheveux, qui étaient d'une autre couleur.

AMÉLIE(bien ingénument. )
Oui ! ils ont éclairci; je ne sais pas pourquoi.

IRÈNE(malicieusement. )
Moi, non plus !… Et puis enfin, "Amélie d'Avranches", vous que j'avais quittée "Pochet" tout court !

AMÉLIE(avec une moue. )
"Pochet", c'était pas un nom pour la galanterie… (Faisant la petite bouche.)
Et puis, pour mon père ! (Debout, à demi penchée près d'Irène, les coudes serrés au corps et une main dans l'autre.)
Et… et madame va bien, oui?… Et monsieur? Oui?

IRÈNE
Monsieur va bien, merci, Amélie… Il a été un peu souffrant, le pauvre homme.

AMÉLIE
Oh ! ce pauvre monsieur.

IRÈNE
Mais ça va, maintenant.

AMÉLIE
Oh ! tant mieux ! tant mieux !

IRÈNE(avec une condescendance toute mondaine. )
Mais asseyez-vous donc !

AMÉLIE(confuse. )
Oh ! devant madame !…

IRÈNE
Mais voyons !…

AMÉLIE(s'asseyant sur l'extrême coin droit de la chaise qui est contre elle. )
C'est trop d'honneur !… (Ne sachant que dire dans son trouble.)
Ah ! ben… si je m'attendais jamais !

IRÈNE(souriant. )
N'est-ce pas?… Et je vous avoue que je me félicite dans cette circonstance ! pénétrant dans un monde que je ne connais pas… m'y trouver comme ça en monde de connaissance !…
(Etienne approuve de la tête en souriant.)

AMÉLIE
Ah ! oui?

IRÈNE( sur un ton de commisération. )
Alors, vous êtes devenue…

AMÉLIE(très naturellement. )
Cocotte, oui, madame.

IRÈNE
Oh !… mais comment avez-vous pu tomber à…

AMÉLIE(geste vague de la main, puis: )
L'ambition !… J'avais ça dans la tête… Je n'étais pas faite pour le métier de femme de chambre.

IRÈNE
C'est dommage ! Vous aviez un bon service.

ETIENNE(qui écoute depuis un instant debout, un peu derrière Amélie, s'asseyant malicieusement contre elle sur le petit coin de la chaise que sa personne n'occupe pas. )
Elle l'a toujours.

AMÉLIE(envoyant du coude un renfoncement dans la hanche d'Etienne, et sévèrement. )
Etienne !

ETIENNE(se relevant. )
Pardon !
(Il gagne la gauche et écoute la suite, adossé au coin de la table à jeu.)

IRÈNE
Mais c'est vrai: vous étiez coquette. Vous adoriez les rubans, les colifichets.

AMÉLIE(approuvant d'un hochement de tête, sur un ton moitié rieur, moitié contrit. )
Oui.

IRÈNE
Vous aimiez à vous parfumer.

AMÉLIE(même jeu. )
Oui.

IRÈNE(malicieusement. )
Avec mes parfums !

AMÉLIE(gentiment, en manière de justification. )
Avec mes gages, je ne pouvais m'offrir que ceux de madame.

IRÈNE
Il vous arrivait de m'emprunter mes robes sans me le dire.

AMÉLIE(vivement. )
Oh ! mais je les remettais.

IRÈNE(approuve d'un petit hochement de tête malicieux, puis. )
Moi aussi. Enfin, vous ne pensiez qu'à votre coiffure; vous vouliez être ondulée, comme les dames. (La tançant du doigt.)
C'est même ça qui vous a fait renvoyer.

AMÉLIE(prenant l'air comiquement contrit. )
Oui ! le jour où j'avais pris les gousses de vanille pour m'en faire des bigoudis !

ETIENNE(riant. )
Non?

IRÈNE(de même. )
Si !

AMÉLIE(à Etienne. )
Les gousses de vanille ! tu vois ça !

IRÈNE(riant. )
Avouez que ça dépassait les bornes !…

AMÉLIE(approuvant. )
Ca dépassait, madame ! Ca dépassait.

IRÈNE(avec un soupir. )
Ah ! tout de même, malgré tous ces défauts je vous ai souvent regrettée.

AMÉLIE(touchée. )
Madame est bien bonne !

IRÈNE(se levant et descendant extrême droite. )
Quand on voit la peine qu'on a à trouver une bonne femme de chambre aujourd'hui !

AMÉLIE(qui s'est levée presque en même temps qu'Irène. Voulant le faire à la femme du monde. )
Ah ! ne m'en parlez pas ! Quelle engeance ! Il n'y a plus moyen d'être servie !

IRÈNE(qui en se retournant vers Amélie aperçoit dans l'embrasure de la baie tous les invités d'Amélie. Baissant vivement sa voilette. )
Oh ! du monde pour vous !

AMÉLIE(se retournant. )
Pour moi?…

YVONNE(du seuil de la baie. )
Chut !… c'est nous !

AMÉLIE
Oh ! pardon ! (A Irène.)
Madame permet?

IRÈNE
Faites donc ! faites donc !
(Pendant ce qui suit, elle gagne l'extrême gauche.)

ETIENNE(tout en suivant Amélie qui va vers ses invités. A Irène. )
Pardon, madame !

AMÉLIE
Eh ! bien, quoi? Qu'est-ce qu'il y a?
(Tout ceci très rapidement dans un chuchotement général. Ensemble)

PALMYRE(à voix basse. )
Ne te dérange pas, nous partons.

BOAS(même jeu. )
Oui, au revoir !

VALCREUSE(même jeu. )
Au revoir !

ETIENNE(même jeu. )
Vous vous en allez?

BIBICHON(même jeu. )
On file à l'anglaise.

AMÉLIE(allant à eux. )
Bon. Alors, au revoir !

ETIENNE
Je vous dis: à dans vingt-huit jours, puisque je pars ce soir pour Rouen.

TOUS
A dans vingt-huit jours !

ETIENNE
A dans vingt-huit jours !

AMÉLIE
C'est ça, c'est ça !… Au revoir ! Excusez-moi de ne pas vous reconduire… Papa, veux-tu?

POCHET(qui est avec les invités. )
Entendu ! Entendu !

AMÉLIE(qui, déjà, redescendait vers Irène, remontant vivement vers la baie dont tous les invités ont disparu. )
Ah ! et… et bien des choses à Caroline !

YVONNE(déjà la coulisse. )
Je n'y manquerai pas !

TOUS
Au revoir, au revoir…
(Ils disparaissent.)

AMÉLIE(tout en redescendant vers Irène. )
C'est… c'est sa sœur, Caroline !

IRÈNE(indifférente. )
Ah?

AMÉLIE
La sœur de la blonde.

IRÈNE(même jeu. )
Oui, oui (A ce moment on voit, à travers la glace sans tain, traverser tous les personnages qui viennent de sortir de scène. Ils font, en passant, des signes de la main à Amélie. Irène, qui, plus bas en scène qu'Amélie et tournée vers cette dernière, a par conséquent son regard dans la direction de la glace sans tain, apercevant le jeu de scène et se détournant vers le public.)
Tenez ! ils vous disent adieu.

AMÉLIE(avec désinvolture. )
Ah ! oui, oh !… (Leur répondant de la main, Très par-dessous la jambe.)
Oui ! Au revoir ! au revoir !

ETIENNE(sur le seuil de la baie. )
Au revoir ! au revoir !
(Il descend en scène.)

AMÉLIE(qui est allée à Irène qui est près de la table à jeu. )
Ah ! je ne saurais dire à madame combien je suis heureuse !… Je suis si dévouée à madame !
(Elle gagne la droite pour aller prendre près du canapé la chaise qu'elle remonte, pendant ce qui suit, à sa place primitive contre le piano.)

IRÈNE(souriant. )
Oui?

ETIENNE(à Irène, près de laquelle il est descendu. )
Pourquoi est-ce toujours quand ils ne sont plus à votre service que les domestiques commencent à vous être dévoués !

AMÉLIE(qui est en train de reporter la chaise. )
Oh ! comme c'est gentil ce que tu dis là !

IRÈNE(souriant. )
Oh ! Il y a un peu de vrai ! (A Etienne.)
Mais, si je ne me trompe, monsieur, vous devez être…

AMÉLIE(qui est près du piano. )
Mon ami.

IRÈNE(s'inclinant légèrement. )
Oui, ça… ! (A Etienne, tandis qu'Amélie redescend)
. Non, mais… le confident et le meilleur ami de Marcel… Vous êtes monsieur Etienne de Milledieu.

ETIENNE(un peu au-dessus d'Irène. )
Aha ! je vois qu'il vous a parlé de moi.

IRÈNE(tournée du côté d'Etienne, par conséquent presque dos au public. )
Et pas en mal je vous assure !… (Lorgnant Etienne avec son face-à-main.)
Seulement, il ne m'avait pas dit… (Considérant son uniforme.)
Ah ! vous avez embrassé là une belle carrière !

ETIENNE(sans conviction. )
Oh !…

IRÈNE
Vous êtes quoi?…

ETIENNE
Remisier !… à la Bourse.

IRÈNE(interloquée. )
Ah ! Ah?… Je ne savais pas qu'on eût un uniforme.

ETIENNE(jetant vivement un coup d'oeil sur sa tenue qu'il avait oubliée et comprenant. )
Ah !… ah ! oui… Il n'y en a pas encore, en effet. Ca, c'est pour mes vingt-huit jours.

IRÈNE(riant. )
Ah ! bon ! dites-moi ça !…

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