ACTE PREMIER - SCÈNE VII



LES MEMES, KHROUCHTCHEV

KHROUCHTCHEV (sortant de la maison.)
Pourquoi ne suis-je pas peintre? Quel groupe magnifique!

ORLOVSKI (tout joyeux.)
Michel, mon filleul chéri!

KHROUCHTCHEV
Mes félicitations! Bonjour, Youletchka, que vous êtes jolie aujourd'hui ! Mon petit parrain ! (Il embrasse ORLOVSKI.)
Sophie Alexandrovna !
(Il salue les autres.)

JELTOUKHINE
Comment peut-on arriver si tard? Où étais-tu?

KHROUCHTCHEV
Chez un malade.

YOULIA
Le pâté est froid depuis longtemps.

KHROUCHTCHEV
Ça ne fait rien, Youlia, je le mangerai froid. Où dois-je m'asseoir?

SONIA
Mettez-vous là!
(Elle lui indique une place à côté d'elle.)

KHROUCHTCHEV
Il fait aujourd'hui un temps superbe, et j'ai un appétit infernal. Attendez, je veux d'abord boire de la vodka! (Il boit.)
A la santé du nouveau-né! Et je mangerai un petit pâté par là-dessus… Youletchka, embrassez ce pâté, il sera encore meilleur. (YOULIA embrasse le pâté.)
Merci. Comment ça va, parrain? Je ne vous ai pas vu depuis longtemps…

ORLOVSKI
Oui, il y a un bon moment. J'étais à l'étranger…

KHROUCHTCHEV
On me l'a dit, on me l'a dit… Je vous ai bien envié… Et toi, Fédor, ça va?

FEDOR IVANOVITCH
Grâce à vos prières, qui nous soutiennent comme des piliers…

KHROUCHTCHEV
Et les affaires?

FEDOR IVANOVITCH
Je ne peux pas me plaindre, ça va. Seulement, mon vieux frère, beaucoup trop de déplacements. Je suis à bout. D'ici au Caucase, du Caucase à la maison, et puis encore au Caucase, et ainsi sans arrêt. Je galope comme un fou! C'est que j'ai deux propriétés là-bas!

KHROUCHTCHEV
Je le sais.

FEDOR IVANOVITCH
Je me consacre à la colonisation et je chasse les tarentules et les scorpions. Dans l'ensemble, les affaires marchent assez bien, mais quant aux "passions, maudites passions"… il n'y a rien de changé.

KHROUCHTCHEV
Naturellement, tu es amoureux?

FEDOR IVANOVITCH
Excellente occasion pour boire un coup, Sylvain! (Il boit.)
Messieurs, ne vous amourachez jamais de femmes mariées! Parole d'honneur, mieux vaut avoir reçue une balle dans l'épaule ou dans la jambe, comme votre humble serviteur, que d'être amoureux d'une femme mariée… C'est un tel malheur que…

SONIA
C'est sans espoir?

FEDOR IVANOVITCH
En voilà une idée ! Sans espoir ! Il n'y a rien au monde qui soit sans espoir. Amour désespéré, amour malheureux, des "oh!" et des "hélas!", balivernes que tout cela! Il suffit de vouloir. Quand je veux que mon fusil ne fasse pas de ratés, il m'obéit. Quand je veux qu'une dame tombe amoureuse de moi, elle n'y coupe pas. Voilà, ma vieille Sonia! Quand j'en ai choisi une, il lui est plus facile, je crois, d'aller faire un tour dans la lune, que de m'échapper.

SONIA
Dis donc, tu nous fais peur!

FEDOR IVANOVITCH
On ne m'échappe pas, oh non! Trois mots seulement, et elle est en mon pouvoir. Oui… Je lui ai dit simplement : "Madame, toutes les fois que vous regarderez une fenêtre, vous penserez à moi, je le veux!" Et, de cette façon-là, elle pense à moi mille fois par jour. Mais ce n'est pas tout : tous les jours, je la bombarde de lettres…

ELENA ANDREEVNA
Les lettres ne sont pas un moyen très sûr. Elle les reçoit, mais elle peut ne pas les lire.

FEDOR IVANOVITCH
Vous croyez? Hum… Voilà trente-cinq ans que je vis sur cette planète, mais jamais je n'ai encore rencontré ce phénomène : une femme qui aurait le courage de ne pas décacheter une lettre!

ORLOVSKI (admirant son fils.)
Hein! Qu'il est beau, mon garçon! Moi-même, dans le temps, j'étais exactement comme lui — exactement! Sauf que je n'ai pas été à la guerre, mais quant à boire de la vodka et à gaspiller de l'argent — vrai, j'étais terrible !

FEDOR IVANOVITCH
Je l'aime, Michel, je l'aime comme un fou, furieusement… Si seulement elle voulait de moi, je lui donnerais tout… Je l'emmènerais chez moi, au Caucase, dans les montagnes, et nous pourrions y vivre comme des bienheureux… Je monterais la garde auprès d'elle, Eléna Andréevna, tel un chien fidèle, et elle serait pour moi, comme dit la chanson de notre président : "Et tu seras la reine du monde, O ma fidèle amie!" Hélas! elle ne connaît pas son bonheur!

KHROUCHTCHEV
Mais qui est cette bienheureuse?

FEDOR IVANOVITCH
Si tu sais trop de choses, tu vieilliras vite. Mais assez parlé de ça ! Tournons la page ! Je me souviens — il y a de cela une dizaine d'années et Lénia n'était encore qu'un lycéen — nous avons fêté comme aujourd'hui l'anniversaire de sa naissance. Je suis parti d'ici à cheval, Sonia assise sur mon bras gauche, Youlia sur mon bras droit, et toutes les deux s'accrochaient à ma barbe. Messieurs-dames, buvons à la santé des amies de ma jeunesse, Sonia et Youlia!

DIADINE (riant aux éclats.)
C'est délicieux!

FEDOR IVANOVITCH
Un jour, c'était après la guerre, j'étais en train de me soûler en compagnie d'un pacha turc, à Trébizonde… Et voilà qu'il me demande…

DIADINE (interrompant.)
Mes amis, buvons à nos bonnes relations ! Vive l'amitié ! Hourra !

FEDOR IVANOVITCH
Halte, halte, halte! Sonia, je réclame ton attention! Je propose un pari, que le diable m'emporte! Voilà, je mets trois cents roubles sur la table. Nous allons jouer au croquet après le déjeuner et je parie de faire en une fois tous les arceaux aller et retour.

SONIA
J'accepte, seulement je n'ai pas trois cents roubles.

FEDOR IVANOVITCH
Si tu perds, tu chanteras pour moi quarante fois!

SONIA
D'accord.

DIADINE
C'est délicieux! C'est délicieux!

ELENA ANDREEVNA (regardant le ciel.)
Quel est cet oiseau qui passe là?

JELTOUKHINE
C'est un épervier.

FEDOR IVANOVITCH
Mes amis, à la santé de l'épervier!
(SONIA part d'un grand éclat de rire.)

ORLOVSKI
La voilà partie! Qu'est-ce que tu as?
(KHROUCHTCHEV rit à son tour.)

ORLOVSKI
Et toi, qu'est-ce qui te prend?

MARIA VASSILIEVNA
Sophie, ce n'est pas convenable!

KHROUCHTCHEV
Oh! excusez-moi, mes amis… Je m'arrête, je m'arrête…

ORLOVSKI
C'est ce qu'on appelle rire sans raison.

VOINITZKI
Ces deux-là, il suffit de leur montrer le doigt, pour qu'ils éclatent de rire. Sonia! (Lui montrant son index.)
Vous voyez bien!

KHROUCHTCHEV
Ça suffit! (Il regarde sa montre.)
Eh bien, père Michel, tu as mangé et bu, et il ne faut pas abuser de l'hospitalité. Il est temps de partir.

SONIA
Où allez-vous?

KHROUCHTCHEV
Chez un malade. Je suis dégoûté de la médecine comme d'une femme que j'aurais cessé d'aimer, comme d'un hiver trop long…

SEREBRIAKOV
Mais permettez, la médecine est tout de même votre métier, votre affaire, pour ainsi dire…

VOINITZKI (ironique.)
Il a un autre métier. Il extrait de la tourbe de ses terres.

SEREBRIAKOV
Comment?

VOINITZKI
De la tourbe. Un ingénieur a calculé qu'il y a dans ses terres pour sept cent vingt mille roubles de tourbe. Ne rigolez pas!

KHROUCHTCHEV
Ce n'est pas pour gagner de l'argent que je fais extraire de la tourbe.

VOINITZKI
Et pourquoi donc?

KHROUCHTCHEV
Pour que vous ne détruisiez pas les forêts.

VOINITZKI
Et pourquoi ne pas les abattre? A vous entendre, on croirait que les forêts n'existent que pour que les gars et les filles des villages puissent y crier "ohé!"

KHROUCHTCHEV
Je n'ai jamais dit cela.

VOINITZKI
Tout ce que j'ai eu l'honneur d'entendre de votre bouche sur la protection des forêts, me paraît dépassé, peu sérieux et tendancieux. Je vous prie de m'excuser. Je ne juge pas par ouï-dire, non; je connais presque par cœur tous vos plaidoyers. Par exemple… (Avec emphase, en faisant de grands gestes comme pour imiter KHROUCHTCHEV.)
Vous autres hommes, vous détruisez les forêts, ces forêts qui embellissent la terre, qui nous apprennent à sentir la beauté et nous élèvent l'âme. Les forêts adoucissent la rudesse du climat. Dans les pays tempérés, on gaspille moins de forces à lutter contre la nature; les hommes y sont plus doux, plus affectueux. Tous les êtres y sont beaux, souples, sensibles, parlent avec élégance et se meuvent avec grâce. Les arts et les sciences y fleurissent, la philosophie n'y est pas pessimiste, les hommes y traitent les femmes avec beaucoup de délicatesse… Et caetera, et caetera… Tout cela est très gentil, mais si peu convaincant que vous voudrez bien me permettre de brûler des bûches dans mon poêle et de construire des granges en bois.

KHROUCHTCHEV
Qu'on abatte les arbres quand c'est nécessaire, mais qu'on cesse d'anéantir les forêts. Toutes les forêts russes gémissent sous les coups de hache, des millions d'arbres sont perdus, les bêtes et les oiseaux quittent leurs refuges, les rivières baissent et se dessèchent, les plus beaux paysages disparaissent à jamais — tout cela parce que l'homme paresseux n'a pas le courage de se baisser pour ramasser le combustible qui traîne. Il faut être un barbare insensé (Il montre les arbres.)
pour brûler cette beauté dans un poêle, pour anéantir ce que nous sommes incapables de créer. L'homme a été doué d'intelligence et de force créatrice pour augmenter son patrimoine, mais jusqu'à présent il n'a rien créé, il n'a fait que détruire. Il y a de moins en moins de forêts, les cours d'eau se tarissent, le gibier disparaît, le climat est détérioré et, tous les jours, la terre s'appauvrit et s'enlaidit. Vous me regardez ironiquement, tout ce que je dis vous paraît démodé et peu sérieux. Cependant, quand je passe devant les forêts paysannes que j'ai sauvées de la hache, ou quand j'entends bruire les bois que j'ai plantés de mes propres mains, je sens que le climat est un peu en mon pouvoir et que si, dans dix mille ans l'homme est plus heureux, j'y serai pour quelque chose. Quand je plante un petit bouleau et que, plus tard, je le vois reverdir et s'incliner sous la brise, je suis rempli de fierté, car je sais que j'ai aidé Dieu à créer un être vivant !

FEDOR IVANOVITCH (l'interrompant.)
A ta santé, Sylvain

VOINITZKI
Tout cela est parfait, mais si vous vouliez considérer la question du point de vue scientifique et non journalistique…

SONIA
Oncle Georges, ta langue est couverte de rouille. Tais-toi !

KHROUCHTCHEV
En effet, Egor Petrovitch, cessons de parler de cela. Je vous en prie.

VOINITZKI
A votre aise.

MARIA VASSILIEVNA
Oh!

SONIA
Qu'avez-vous, grand-mère?

MARIA VASSILIEVNA (à SEREBRIAKOV.)
J'ai oublié de vous dire, Alexandre… Je n'ai plus de mémoire!… Ce matin, j'ai reçu une lettre de Kharkov, de Paul Aléxéevitch… Il vous envoie ses amitiés…

SEREBRIAKOV
Merci, j'en suis très heureux.

MARIA VASSILIEVNA
Il m'envoie aussi sa nouvelle brochure, qu'il me demande de vous montrer.

SEREBRIAKOV
Intéressante ?

MARIA VASSILIEVNA
Oui, mais un peu étrange. Il réfute tout ce qu'il soutenait lui-même il y a sept ans. C'est tout à fait caractéristique de notre époque. Jamais on n'a renié ses convictions avec autant de facilité. C'est affreux!

VOINITZKI
Il n'y a rien là d'affreux. Mangez votre carassin, maman.

MARIA VASSILIEVNA
Mais enfin, je veux parler!

VOINITZKI
Des tendances et des opinions, nous en parlons depuis cinquante ans. Il est temps d'en finir.

MARIA VASSILIEVNA
Je ne sais pas pourquoi tu détestes m'entendre parler. Excuse-moi, Georges, mais tu as tellement changé depuis un an, que je ne te reconnais plus. Tu étais un homme aux idées bien arrêtées, une personnalité lumineuse…

VOINITZKI
Oui, bien sûr! J'étais une personnalité lumineuse qui n'éclairait rien, ni personne. Permettez-moi de me lever… Une personnalité lumineuse! Peut-on se moquer de moi plus cruellement! Aujourd'hui, j'ai quarante-sept ans. Jusqu'à l'année dernière, j'ai tout fait, comme vous-mêmes, pour m'étourdir sciemment de ces théories abstraites, de cette scolastique, afin de ne pas voir la vie réelle. Et je croyais bien faire! Mais maintenant, si vous saviez comme je me juge stupide d'avoir bêtement laissé passer le temps où j'aurais pu avoir tout ce que la vieillesse me refuse maintenant!

SEREBRIAKOV
Permets, Georges. On dirait que tu reproches quelque chose à tes convictions passées…

SONIA
Assez, papa! C'est ennuyeux.

SEREBRIAKOV
Attends. On dirait que tu reproches quelque chose à tes convictions passées. Mais elles n'y sont pour rien. Le seul responsable, c'est toi. Tu as oublié que, si l'on n'agit pas, les convictions demeurent lettre morte… Tu aurais dû agir.

VOINITZKI
Agir? Tout le monde n'est pas capable d'être un perpetuum mobile, la plume à la main.

SEREBRIAKOV
Que veux-tu dire par là?

VOINITZKI
Rien du tout. Passons. Nous ne sommes pas chez nous.

MARIA VASSILIEVNA
Où ai-je donc la tête? J'aurais dû vous rappeler, Alexandre, de prendre vos gouttes avant le déjeuner. Je les ai apportées, et voilà que j'oublie de vous en parler.

SEREBRIAKOV
C'est inutile.

MARIA VASSILIEVNA
Mais vous êtes malade, Alexandre! Vous êtes .très malade !

SEREBRIAKOV
Pourquoi le crier sur les toits? Vieux, malade, malade, vieux… je n'entends plus que cela. (A JELTOUKHINE.)
Léonide Stépanytch, permettez-moi de me lever de table et d'aller à l'intérieur. Il fait trop chaud, ici… et il y a des moustiques.

JELTOUKHINE
Mais je vous en prie. Nous avons fini de déjeuner.

SEREBRIAKOV
Je vous remercie.
(Il se lève et va vers la maison. MARIA VASSILIEVNA le suit.)

YOULIA (à son frère.)
Va avec le professeur! Il faut être poli.

JELTOUKHINE (à YOULIA.)
Que le diable l'emporte!
(Il va à l'intérieur.)

DIADINE
Youlia Stépanovna, permettez-moi de vous remercier du fond du cœur.
(Il lui baise la main.)

YOULIA
Il n'y a pas de quoi, Ilia Iliitch! Vous avez mangé si peu de choses! (Chacun la remercie.)
Il n'y a pas de quoi, mes amis. Vous avez mangé si peu de choses !

FEDOR IVANOVITCH
Eh bien, qu'est-ce qu'on fait maintenant? D'abord, nous allons jouer au croquet, et je tâcherai de gagner mon pari… Mais après?

YOULIA
Après, nous dînerons.

FEDOR IVANOVITCH
Et après?

KHROUCHTCHEV
Après, vous viendrez tous chez moi. Ce soir, nous organiserons une partie de pêche sur le lac.

FEDOR IVANOVITCH
Parfait.

DIADINE
C'est délicieux!

SONIA
Permettez, un instant… Nous allons donc maintenant jouer au croquet, disputer la partie… Puis nous dînerons ici, chez Youlia, pas trop tard, et, vers sept heures, nous irons tous chez le Sylv… je veux dire, chez Mikhaïl Lvovitch. C'est parfait. Youlia, allons chercher les boules.
(SONIA et YOULIA vont dans la maison.)

FEDOR IVANOVITCH
Vassili, emporte ces bouteilles sur le terrain de jeu. Nous boirons à la santé du vainqueur. Eh bien, paternel, viens t'adonner à ce noble sport.

ORLOVSKI
Attends, mon garçon, je vais bavarder cinq minutes avec le professeur. Ce sera plus convenable. Il faut respecter l'étiquette. Joue avec ma boule en attendant, ça ne sera pas long.
(Il va vers la maison.)

DIADINE
Moi aussi, j'irai écouter le très savant Alexandre Vladimirovitch. Anticipant le grand plaisir que…

VOINITZKI
Tu nous ennuies, Gaufrette. Va-t'en.

DIADINE
Je m'en vais.(Il va vers la maison.)
FÉDOR, va vers le jardin et chante. "Et tu seras la reine du monde, O ma fidèle amie"…
(Il sort.)

KHROUCHTCHEV
Je vais me retirer discrètement. (A VOINITTZKI.)
Egor Pétrovitch, ne parlons plus jamais ni des forêts ni de la médecine, je vous en prie instamment. Chaque fois que vous abordez l'un de ces sujets, cela me laisse un arrière-goût dans la bouche toute la journée, comme si j'avais mangé dans une assiette non étamée. J'ai bien l'honneur…
(Il sort.)

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