Les Mystères de Marseille est une œuvre d'Émile Zola qui plonge le lecteur dans les intrigues et les tensions de la société marseillaise à la fin du XIXe siècle. Ce roman fait partie des Rougon-Macquart, une série qui explore les effets de l'hérédité et du milieu social sur les individus. Au cœur de l'intrigue, nous découvrons une ville vibrante, à la fois belle et inquiétante, où se côtoient les classes sociales et où les passions humaines s'expriment dans toute leur intensité.
Les personnages principaux représentent diverses facettes de la vie marseillaise. Zola nous présente des figures emblématiques, des ouvriers aux bourgeois, chacun ayant ses rêves, ses luttes et ses désillusions. Les tensions économiques et les luttes sociales sont omniprésentes, faisant ressortir les inégalités criantes et les injustices qui règnent dans cette cité portuaire. À travers une narration riche en détails, Zola peint un tableau vivant de Marseille, décrivant ses rues, ses marchés, et ses ports, tout en évoquant l'impact de l'industrialisation sur la ville et ses habitants.
Le roman est également marqué par une certaine mélancolie et une introspection sur les destinées individuelles. Les protagonistes tentent de se frayer un chemin dans un monde hostile, emplis de désirs souvent inaccessibles. Les relations humaines sont complexes, oscillant entre l'amour, la jalousie, la trahison et la solidarité. Zola explore comment les choix des uns influencent ceux des autres, renforçant l'idée que les destins sont entrelacés et souvent tragiques.
Les Mystères de Marseille, par son style naturaliste, montre aussi la manière dont l'environnement et les conditions de vie façonnent les personnages. Les descriptions vivantes des paysages marins, des ruelles étroites et des tavernes de la ville offrent un cadre quasi vivant à l'histoire. Cette immersion dans le quotidien des Marseillais permet de comprendre les forces qui agissent sur leurs vies, révélant des vérités sur la nature humaine et la société.
Ce roman a une histoire qu’il n’est peut-être pas inutile de conter.C’était en 1867, aux temps difficiles de mes débuts. Il n’y avait pas chez moi du pain tous les jours. Or, dans un de ces moments de misère noire,...
Vers la fin du mois de mai 184., un homme, d’une trentaine d’années, marchait rapidement dans un sentier du quartier Saint-Joseph, près des Aygalades. Il avait confié son cheval au méger d’une campagne voisine, et il se dirigeait vers une...
Marius Cayol, le frère de l’amant de Blanche, avait environ vingt-cinq ans. Il était petit, maigre, d’allure chétive. Son visage jaune clair, percé d’yeux noirs, longs et minces, s’éclairait par moments d’un bon sourire de dévouement et de résignation. Il...
Marius, en arrivant à Marseille, se dirigea vers l’église Saint-Victor, à laquelle était attaché l’abbé Chastanier. Saint-Victor est une des plus vieilles églises de Marseille ; ses murailles noires, hautes et crénelées, la font ressembler à une forteresse. Le peuple...
Les amants s’étaient enfuis un mercredi. Le vendredi suivant, tout Marseille connaissait l’aventure ; les commères, sur les portes, ornaient le récit de commentaires dramatiques ; la noblesse s’indignait, la bourgeoisie faisait des gorges chaudes. M. de Cazalis, dans son...
Blanche et Philippe quittèrent la maison du jardinier Ayasse au crépuscule, vers sept heures et demie. Dans la journée, ils avaient vu des gendarmes sur la route ; on leur affirmait qu’ils seraient arrêtés le soir, et la peur les...
Alors, ce fut une vraie déroute, une course sans trêve ni repos, une épouvante de toutes les minutes. Poussés à droite et à gauche par leur effroi, croyant sans cesse entendre derrière eux des galops de chevaux, passant les nuits...
La nouvelle de l’arrestation n’arriva à Marseille que le lendemain. Ce fut un véritable événement. On avait vu, dans l’après-midi, M. de Cazalis passer en voiture avec sa nièce sur la Cannebière. Les bavardages allaient leur train ; chacun parlait...
Lorsque, le soir, Marius raconta à M. Martelly l’entrevue qu’il avait eue avec M. de Cazalis, l’armateur lui dit en hochant la tête :— Je ne sais quel conseil vous donner, mon ami. Je n’ose vous désespérer ; mais vous...
À Aix, Marius descendit chez Isnard, qui demeurait rue d’Italie. Le mercier n’avait pas été inquiété. On dédaignait sans doute une proie d’une aussi mince valeur.Fine alla droit chez le geôlier de la prison, dont elle était la nièce par...
Tout Aix était en émoi. Le scandale éclate avec une étrange énergie dans les petites villes paisibles, où la curiosité des oisifs n’a pas chaque jour un nouvel aliment. Il n’était bruit que de Philippe et de Blanche ; on...
Blanche, cachée au fond de la tribune, avait assisté à la condamnation de Philippe. Elle était là, par ordre de son oncle, qui voulait achever de tuer ses tendresses en lui montrant son amant entre deux gendarmes, ainsi qu’un voleur....
Pendant que Marius, avant le procès, courait la ville inutilement, Fine travaillait de son côté à l’œuvre de délivrance. Elle entreprenait une campagne en règle contre la conscience de son oncle, le geôlier Revertégat.Elle s’était installée chez lui et passait...
Marius courut chez le banquier Bérard. Il ne pouvait croire à la sinistre nouvelle, il avait la foi des cœurs honnêtes. En chemin, il se disait que les bruits qui couraient n’étaient peut-être que des calomnies et il se rattachait...
Marius descendit machinalement sur le port. Il allait devant lui, ne sachant où ses pieds le conduisaient. Il était comme hébété. Une seule idée battait dans sa tête vide, et cette idée répétait, avec des bourdonnements de cloche, qu’il lui...
Marius s’avoua son impuissance. Il ne savait plus à quelle porte frapper. On n’emprunte pas quinze mille francs dans une heure, lorsqu’on est un simple commis.Il descendit lentement la rue d’Aix, l’intelligence tendue, ne trouvant rien au fond de ses...
Le sieur Rostand était un habile homme. Il faisait en toute tranquillité son commerce honteux. Pour mettre une enseigne honorable à son industrie, il avait ouvert une maison de banque ; il payait patente, il était légalement établi. Même, à...
Lorsque Marius eut raconté son équipée au geôlier et à la bouquetière, cette dernière s’écria :— Nous voilà bien avancés ! Pourquoi vous êtes-vous mis en colère ? Cet homme vous aurait peut-être prêté de l’argent.Les femmes ont des entêtements...
Le lendemain matin, Marius, poussé par la nécessité se décida à aller frapper chez M. de Girousse. Depuis qu’il cherchait de l’argent, il songeait à s’adresser au vieux comte. Mais il avait toujours reculé devant cette pensée ; il redoutait...
Le lendemain matin, Fine alla retrouver Blanche et l’abbé Chastanier. Elle voulait les accompagner jusqu’à la porte de l’hôtel du président, pour connaître tout de suite le résultat de leur démarche. Marius, comprenant que sa présence serait pénible à mademoiselle...
Le patron de Cadet Cougourdan, le maître portefaix Sauvaire, était un petit homme vif, noirâtre, aux membres trapus et vigoureux. Son grand nez crochu, ses lèvres minces, son visage allongé exprimaient cette confiance vaniteuse, cette vantardise rusée qui sont les...
Armande avait une origine fort mystérieuse. Elle prétendait être née dans l’Inde, d’une femme indigène et d’un officier anglais. Elle partait de là et contait, à qui voulait l’entendre, un roman dont elle était l’héroïne. Elle mettait sa première faute...
Mme Mercier était une petite vieille de cinquante ans, ronde, grasse, qui larmoyait toujours en se plaignant de la dureté des temps. Vêtue d’indienne déteinte, ayant sans cesse au bras un vieux cabas de paille qui lui servait de caisse,...
Sauvaire et Marius étaient restés près d’une demi-heure seuls dans le salon. Le jeune homme aurait bien voulu se retirer ; mais il n’avait pas cru devoir s’en aller avant de saluer la maîtresse de la maison. Il feignait d’écouter...
Marius était rentré chez M. Martelly. Il y avait repris son emploi, trouvant une sorte de paix dans le travail. Son esprit devenait plus libre, au milieu du silence et de la tranquillité de son bureau. Il se disait qu’il...
Le lendemain, Marius se rendit chez Douglas, pour recevoir ses dernières instructions.— Allons, vous êtes exact, lui dit le notaire en souriant. Vous verrez que nous ferons d’excellentes affaires. Je veux vous enrichir… Asseyez-vous là. Je suis à vous dans...
Marius, en entrant dans l’étude de Douglas, fut surpris du calme religieux de ces grandes pièces froides, où il savait que le crime habitait. Il ne pouvait s’accoutumer à tant d’hypocrisie, il aurait voulu que chaque mur criât tout haut...
Lorsque Marius entendit Douglas l’accuser de le juger en enfant, il se révolta et ouvrit les lèvres pour lui crier qu’il le jugeait en honnête homme. Ce faussaire trouvait puéril qu’on lui reprochât ses faux, et il prenait des attitudes...
Il y avait plus de deux mois que Marius et Fine étaient de retour à Marseille. Le jeune homme, en sortant de l’étude de Douglas, dut s’avouer qu’il avait jusque-là perdu son temps et qu’il n’avait pu encore trouver le...
Blanche menait une vie de larmes. L’automne pâlissait les horizons mélancoliques, la saison devenait froide et triste. De larges frissons secouaient la mer dont les voix se faisaient gémissantes, tandis que les arbres jetaient leurs feuilles à la terre. Sous...
Quelques jours après, un matin, comme Marius se rendait à son bureau, vers neuf heures, il trouva la rue Paradis encombrée d’une foule bruyante qui descendait vers la Cannebière. Il s’arrêta au coin de la rue de la Darse, et,...
Comme Marius était appuyé contre la devanture de la boutique, les yeux à terre, douloureusement ému par le spectacle auquel il venait d’assister, il sentit une main se poser sur son épaule avec une brusquerie amicale.Il leva la tête et...
Avant de raconter le nouvel épisode de ce drame, avant de montrer Marius dans toutes les angoisses du jeu, il est nécessaire d’expliquer les causes qui ont multiplié les tripots dans Marseille. Celui qui écrit ces lignes voudrait pouvoir étaler,...
Le cercle Corneille était un de ces tripots autorisés, dont il a été question dans le précédent chapitre. En principe, il devait être uniquement composé de membres admis à la majorité des voix et payant une cotisation de vingt-cinq francs....
En entrant dans la salle, Marius aperçut à une table Sauvaire entre Clairon et Isnarde. Le maître portefaix n’avait pas quitté les deux filles depuis le matin. Il se leva et vint serrer la main du jeune homme.— Ah !...
Marius resta au lit pendant trois semaines, en proie à un violent délire. Il eut une fièvre cérébrale aiguë qui le mit à deux doigts de la mort. Sa jeunesse et les soins touchants qu’il reçut le sauvèrent.Un soir, à...
Mademoiselle Claire Martelly était une grande et belle fille de vingt-trois ans, que les circonstances avaient jetée dans la dévotion. Elle avait dû épouser un de ses cousins, qui s’était misérablement noyé à Endoume, dans une partie de plaisir. Le...
L’abbé Donadéi s’était laissé envahir par un de ces désirs violents qui éclatent parfois dans les natures rusées et sournoises. Lui si habile, si prudent, il venait de commettre une maladresse. Il en eut conscience, lorsque le sacristain fut parti,...
Le lendemain de l’enlèvement, Marius alla à son bureau, satisfait de son expédition de la veille. Il venait de sauver une honnête famille du désespoir et de délivrer la ville d’un intrigant dont il avait personnellement à se plaindre. Le...
Le lendemain, vers sept heures, Marius alla louer un cabriolet. Il ne voulait pas prendre la diligence. Il avait besoin d’une voiture pour la fuite, et il préférait se procurer à Marseille cette voiture qui le conduirait à Aix et...
Environ deux mois après l’évasion de Philippe, par une calme soirée de février, Blanche se promenait lentement. Le crépuscule allait tomber. Au loin, la mer était toute pâle, et, sur les cailloux de la grève, elle bruissait faiblement, à peine...
Comme le disait Blanche, si son oncle n’avait pas eu certains projets, il ne l’aurait point enfermée ainsi. Le désir de cacher la grossesse de la jeune femme ne justifiait pas l’excès de précautions que prenait M. de Cazalis pour...
Il est nécessaire, pour l’intelligence des faits qui vont suivre de décrire en quelques mots la petite maison de la côte. Cette maison offrait une singularité de construction assez bizarre : elle avait deux portes, une sur le devant, qui...
M. de Cazalis s’était assoupi, en bas, dans un salon, sous la chambre de Blanche. Dans son sommeil, il lui avait semblé, à plusieurs reprises, entendre marcher au-dessus de sa tête. Un bruit plus distinct finit par le réveiller en...
Blanche resta trois semaines au lit, entre la vie et la mort. Les émotions profondes qui l’avaient secouée, la nuit de ses couches, déterminèrent une terrible fièvre qui faillit l’emporter. Pendant ces trois semaines d’agonie, elle eut à son chevet...
Deux années s’écoulèrent. Dès les premiers mois, Marius épousa Fine et alla s’établir avec elle dans un petit logement, clos et discret, du cours Bonaparte. M. Martelly, qui signa au contrat, fournit la dot de Marius en l’intéressant aux affaires...
Pendant les trois années qui s’étaient écoulées depuis la naissance du fils de Blanche et de Philippe, des changements importants avaient eu lieu dans l’existence de M. de Cazalis. Il n’avait pas été réélu député aux dernières élections, et il...
Philippe, depuis qu’il se cachait à Marseille, menait une vie monotone et son unique joie était d’aller, chaque soir, embrasser son fils à Saint-Barnabé. Marius, par prudence, l’avait supplié d’attendre d’être libéré pour faire de pareilles visites, car il eut...
Avant d’ouvrir, Philippe avait éteint la lampe.Les gendarmes, qui allaient se précipiter dans la maison, s’arrêtèrent court sur le seuil, craignant que l’obscurité ne cachât quelque piège. Peut-être avait-on ouvert devant leurs pas la trappe d’une cave, peut-être les attaquerait-on...
Le lendemain, au réveil, les deux frères éprouvèrent une joie vive en se retrouvant ensemble, délivrés de toute crainte. La veille, ils avaient emmené Joseph avec eux, après avoir largement récompensé et remercié le jardinier Ayasse.Philippe et son fils couchèrent...
Le lendemain de son expédition chez le jardinier Ayasse, M. de Cazalis, dont la colère était tombée, fut pris d’une véritable épouvante. Il se sentait au pouvoir de ses ennemis : maintenant que Philippe avait sa grâce, les Cayol allaient...
La République fut enfin solennellement proclamée le mardi, 29 février, sur la Cannebière, par une matinée sombre et pluvieuse. Au moment où les anciennes autorités déposaient leurs pouvoirs, le commissaire provisoire que Paris envoyait à Marseille descendait la rue d’Aix...
Mathéus était décidément un républicain pur, un radical avec lequel il ne fallait pas plaisanter. Le front à demi couvert par sa perruque rousse, il agitait sa tête, dans les clubs, comme une torche aux lueurs rouges. Il était toujours...
Pendant que Mathéus suivait Fine et allait prévenir M. de Cazalis, la colonne des ouvriers descendait vers la Cannebière. Cette colonne, partie de la gare du chemin de fer, n’était alors composée que de quelques centaines de travailleurs ; mais,...
Les délégués, qui étaient parvenus à pénétrer jusqu’au commissaire du gouvernement, n’avaient pu obtenir de lui qu’une lettre dans laquelle il donnait satisfaction au désir des ouvriers de ne travailler que dix heures par jour. Mais cette lettre arrivait trop...
Pendant qu’une terreur folle emportait et dispersait la foule, Philippe et Marius étaient restés quelques instants près de l’hôtel des Empereurs, abrités dans l’enfoncement d’une porte, pour ne pas être entraînés par le flot des fuyards.Philippe sentait se révolter en...
L’entrevue fut courte et émue. Philippe prit un instant le petit Joseph sur ses genoux, et il éprouva un brusque attendrissement.— Je vous le confie, dit-il à Fine et à Marius. Je ne le reverrai peut-être pas, mais je sais...
Grâce à son uniforme de garde national, M. de Cazalis put suivre les phases diverses de l’émeute. Dès le matin, lorsque Mathéus l’avait quitté devant la Préfecture, il s’était glissé dans les rangs de la première compagnie qu’il avait rencontrée....
Sauvaire avait perdu de vue M. de Cazalis, en pénétrant sur la place. Il était furieux d’ignorer où il pouvait être, après l’avoir surveillé pendant près d’une heure, sous une porte cochère. Le digne homme continuait à ne plus songer...
Les angoisses de Fine avaient été terribles pendant la lutte. Chaque coup de fusil la faisait tressaillir, elle se disait avec épouvante que la balle avait peut-être tué un des siens. Elle eût voulu être en bas, dans la rue,...
Une année après les sanglants événements qu’on vient de lire, un nouveau souffle de mort passa sur Marseille. La ville entière était frappée. Il ne s’agissait plus de quelques douzaines de blessés : les hommes tombaient par centaines. Le choléra...
Quand le fiacre emportant Philippe se fut éloigné, M. de Cazalis remercia vivement les sergents qui lui avaient servi de témoins.— Messieurs, leur dit-il, pardonnez le dérangement que je vous ai causé, et veuillez me permettre de vous reconduire à...
Dix années se sont écoulées.M. Martelly s’est retiré dans une villa qu’il a fait construire sur les rochers d’Endoume. Il vit au fond de cette retraite en compagnie de sa sœur. Sa seule tristesse est de voir que la liberté...
Le Vœu d'une morte est une œuvre d'Émile Zola qui s'inscrit dans le cycle des Rougon-Macquart. Ce récit aborde la thématique de la mort et de l'au-delà, tout en explorant...
"Contes à Ninon" est une œuvre d'Émile Zola qui se compose d'une série de nouvelles, publiées pour la première fois en 1864. Ces histoires sont racontées dans un style simple...
Le Docteur Pascal est le dernier roman de la série des Rougon-Macquart d'Émile Zola, publié en 1893. L'histoire se déroule dans le contexte de la fin du XIXe siècle en...
La Débâcle est le dix-neuvième roman de la série des Rougon-Macquart écrite par Émile Zola. Publié en 1892, l'œuvre se concentre sur la guerre franco-prussienne de 1870 et ses conséquences...
L'Argent d'Émile Zola est un roman qui explore les thèmes du capitalisme et de la corruption à travers la vie de ses personnages, notamment celui de Saccard, un homme ambitieux...
La Bête humaine est un roman d’Émile Zola, publié en 1890, qui s’inscrit dans le cycle des Rougon-Macquart. L’histoire se déroule principalement sur les chemins de fer français, un symbole...
Le Rêve d’Émile Zola est un roman qui explore la vie d'une jeune fille, Christine, qui aspire à un monde idéal et à une existence empreinte de beauté et de...
L'œuvre "La Terre" d'Émile Zola, publiée en 1887, s'inscrit dans le cycle des Rougon-Macquart et met en lumière la vie rurale en France à la fin du XIXe siècle. Le...
L’Œuvre d’Émile Zola est un roman qui explore le monde de l'art et de la création, tout en s'intéressant aux relations complexes entre les artistes, leurs œuvres et la société....
"La Joie de vivre" est un roman d'Émile Zola publié en 1884 et il fait partie de la série des Rougon-Macquart. L'œuvre explore les thèmes de la vie, de la...