LE BOSSU
Le bordel, il n'y a que ça de vrai, d'abord. Les femmes du monde, j'en ai goûté, mais n'en faut plus. Quand on est empêtré d'une, on ne peut plus s'en débarrasser, et puis avec ces mijorées, faut un tas de façons, faut payer de sa personne. Moi, j'aime pas me mettre en habit noir. Et puis, faut prendre un tas de précautions pour pas les compromettre, sans compter qu'il y a des jours où ça fait sa poire, tandis que ici les femmes sont toujours aussi aimables.
(Les femmes entrent.)
IÀ Georges Pouchet.Je n’étais point revenu à Virelogne depuis quinze ans. J’y retournai chasser, à l’automne, chez mon ami Serval, qui avait enfin fait reconstruire son château, détruit par les...
IÀ Gustave Toudouze.Le wagon était au complet depuis Cannes ; on causait, tout le monde se connaissait. Lorsqu’on passa Tarascon, quelqu’un dit : « C’est ici qu’on assassine. » Et...
À M. Achille Bénouville.Un vieux pauvre, à barbe blanche, nous demanda l’aumône. Mon camarade Joseph Davranche lui donna cent sous. Je fus surpris. Il me dit :— Ce misérable m’a...
À Léon Dierx.M. Saval, qu’on appelle dans Mantes « le père Saval », vient de se lever. Il pleut. C’est un triste jour d’automne ; les feuilles tombent. Elles tombent...
À Guillemet,Devant la porte de la ferme, les hommes endimanchés attendaient. Le soleil de mai versait sa claire lumière sur les pommiers épanouis, ronds comme d’immenses bouquets blancs, roses et...