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Salon dans la maison de Sérébriakov. Trois portes, à droite, à gauche et au milieu. Après- midi. Voïnitski et Sonia sont assis ; Elèna Andréïevna va et vient, perdue dans ses...
La salle à manger dans la maison de Sérébriakov. La nuit. On entend dans le jardin le veilleur frapper sur sa planchette. Sérébriakov sommeille, assis dans un fauteuil devant la...
L'action se passe dans la propriété de Sérébriakov. Un jardin. On voit une partie de la maison avec la terrasse. Dans l'allée, sous un vieux peuplier, une table préparée pour...
La chambre d'Ivan Pétrovitch. C'est à la fois sa chambre à coucher et le bureau de la propriété. Près de la fenêtre, une grande table avec des livres de comptes,...
MADAME POPOVA (entre, les yeux baissés)Monsieur, dans ma solitude, j'ai depuis longtemps oublié le son de la voix humaine, et je ne supporte pas les cris. Ne troublez pas ma...
MADAME POPOVA (entre, avec des pistolets)Les voilà… Mais avant de nous battre, vous voudrez bien me montrer la façon de s'en servir… Je n'ai jamais eu de pistolets entre les...
SMIRNOV (en entrant, à Louka)Tu causes trop, imbécile. Espèce d'âne! (A Mme Popova, avec dignité) J'ai l'honneur de vous saluer, madame : Grigory Stépanovitch Smirnov, lieutenant d'artillerie en retraite, propriétaire...
MADAME POPOVALouka, veux-tu faire sortir ce monsieur.LOUKA (s'approchant de Smirnov)Il faut vous en aller, monsieur, puisqu'on vous le dit. Il n'y a pas à…SMIRNOV (se levant d'un bond)Silence! A qui...
SMIRNOVNon, mais, voyez-moi ça! "Son humeur… Il y a sept mois que mon mari est mort." Mais pardon, et moi, est-ce que je dois payer les intérêts, je vous le...
LOUKACe n'est pas bien, madame… Vous finirez par dépérir… La femme de chambre et la cuisinière sont allées aux fraises, tout le monde est content, même le chat qui sait...
LOUKAQue désirez-vous, monsieur?SMIRNOVApporte-moi du kvass, ou de l'eau. (Louka sort.) Non, vous parlez d'une logique! Un homme a besoin d'argent, s'il n'en trouve pas, il n'a plus qu'à se pendre,...
ILongtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire :...
Le pépiement matinal des oiseaux semblait insipide à Françoise. Chaque parole des « bonnes » la faisait sursauter ; incommodée par tous leurs pas, elle s’interrogeait sur eux ; c’est...
LUCIENNE, REDILLON , PUIS GEROMEREDILLONAsseyez-vous !(Il va fermer la porte du fond. )LUCIENNE (s'asseyant.)Hein ! Non ! Mais croyez-vous, le misérable !REDILLONQui ?LUCIENNEComment qui ? Mais mon mari, évidemment !REDILLON...
La lune se levait à ras des flots, et, sur la ville encore couverte de ténèbres, des points lumineux, des blancheurs brillaient : le timon d’un char dans une cour,...
(LE COMMISSAIRE PUIS FLOCHE ET DEUX AGENTS)LE COMMISSAIREBreloc ! Breloc ! Est-ce que je sais, moi, si cet homme-là s'appelle Breloc ! A la rigueur, moi aussi, je pourrais m'appeler...
Le présidentTerrible braillard!Le substitutEn effet !Le présidentÇa ne fait rien, voilà une question tranchée. Nous allons passer sans plus de délai à l'examen de la seconde affaire.Le substitutAvant d'en commencer...
Que s’était-il passé ? D’où provenait la cause de cette ivresse singulière dont les conséquences pouvaient être désastreuses ? Une simple étourderie de Michel, à laquelle très-heureusement, Nicholl put remédier...
À Monsieur Edmond Deman.« Gare, dessous !… » Dicton populaire.En cette nuit de commencement d’automne, le vieil hôtel à jardins, demeure de la brune Maryelle, — tout à l’extrême du...
Le preux, quittant Phorcys, prend le rude sentierIndiqué par Minerve, à travers bois et roches,Afin de consulter le pasteur sans reprochesQui de tous ses valets sait le mieux son métier.Il...
Euryclée, exultant, remonte vers la reine,Pour lui dire qu’enfin son cher époux est là ;Ses genoux sont moins lourds, un pied plus vif l’entraîne.Penchée à son chevet, la vieille ainsi...
Sorti de chez madame de Vercellis à peu près comme j’y étais entré, je retournai chez mon ancienne hôtesse, et j’y restai cinq ou six semaines, durant lesquelles la santé,...
L’impatience d’habiter l’Ermitage ne me permit pas d’attendre le retour de la belle saison ; et sitôt que mon logement fut prêt, je me hâtai de m’y rendre, aux grandes...
Le bourdonnant été, doré comme du miel,Parfumé de citrons, de résine et de menthe,Balance au vent sucré son rêve sensuelEt baigne son visage au clair de l’eau dormante.Les pesants papillons...
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