Tantost nos navires, braves
De la dépoüille d’Alger,
Viendront les Mores esclaves
A Marseille décharger ;
Tantost, riches de la perte
De Thunis et de Biserte,
Sur nos bords étalleront
Le cotton pris en leurs rives,
Que leurs pucelles captives
En nos maisons filleront.