La pièce "Doit-on le dire ?", écrite par Eugène Labiche en 1872, est une comédie en un acte qui explore les conséquences des secrets, des mensonges et des quiproquos dans la bourgeoisie française. Fidèle au style de Labiche, l’intrigue repose sur des situations cocasses et des dialogues pleins d’esprit, tout en offrant une satire des mœurs et des conventions sociales de l’époque.
L’histoire se déroule dans une famille bourgeoise où un événement mineur ou un secret embarrassant provoque une série de malentendus. Les personnages se retrouvent confrontés à un dilemme moral : faut-il révéler la vérité, au risque de créer un scandale, ou est-il préférable de dissimuler les faits pour préserver les apparences ? Ce questionnement, résumé dans le titre, devient le moteur des péripéties et des affrontements entre les protagonistes.
Les quiproquos s’accumulent à mesure que chacun tente de protéger ses intérêts ou son honneur, menant à des situations absurdes et comiques. À travers cette intrigue, Labiche met en lumière l’hypocrisie et l’obsession des classes bourgeoises pour le paraître et les convenances, tout en soulignant les absurdités des normes sociales.
Le dénouement, comme dans de nombreuses pièces de Labiche, offre une résolution légère et humoristique, où les malentendus sont dissipés, et où les personnages se retrouvent confrontés à leurs propres travers. La pièce illustre l’art de Labiche à transformer des situations ordinaires en comédies hilarantes, tout en proposant une critique subtile de la société.
(Un petit salon chez le marquis. — Porte au fond. — Portes à droite et à gauche dans le pan coupé. — Deux autres portes latérales. — À gauche, une cheminée ; à droite, une table avec tout ce qu'il...
(Au lever du rideau, Blanche parlant à la cantonade par la porte du pan coupé de gauche.)BLANCHE(à la cantonade.) Oui, mon ami… habillez-vous et revenez bien vite pour la signature du contrat… (Redescendant en scène.) J'ai cru qu'il ne s'en...
LUCIE(entrant par le pan coupé de droite.) Bonjour, ma tante.BLANCHEComme tu es belle !… Eh bien, commences-tu à t'habituer un peu à M. Gargaret, ton prétendu ?LUCIE(soupirant.) Pas, beaucoup ; c'est M. Albert que j'aurais voulu épouser !BLANCHEEncore M. Albert…...
GARGARET(offrant le bouquet à Blanche.) Puisqu'elle n'en veut pas… On dirait qu'elle me fuit.BLANCHEUn peu d'émotion… Vous comprenez, une jeune fille.GARGARETNous avons tous passé par là !… moi, la première fois que j'ai serré la main d'une femme, mon cœur...
LE MARQUISEst-on venu de l'assurance, pour constater les dégâts de l'incendie ?BLANCHEPas encore.LE MARQUISVoilà trois ans que je lui donne dix francs, à cette compagnie, il est bien juste qu'elle m'en paye cinq cents.BLANCHEMon ami, vous nous ferez tous griller...
UN DOMESTIQUE (, annonçant.)Maître Le Barrois.BLANCHEAh ! le notaire.LE BARROIS(venant du fond. ) Madame… Commodore… (Ils se donnent la main.)LUCIE(entrant en toilette de mariée par le fond, de droite.) Me voici… Suis-je bien, ma tante ?BLANCHECharmante !… la couronne un...
JULIETTE(entrant par le fond.) Monsieur, il y a là un jeune homme.LE MARQUISJe n'y suis pas.JULIETTEIl vient pour l'incendie.LE MARQUIS(se levant vivement.) Ah ! c'est différent… Qu'il entre. (Au notaire.) Vous permettez ?… C'est l'affaire d'une seconde.ALBERT(entre par le fond ...
BLANCHE(à part.) Il est bien, ce jeune homme.LE MARQUISVoyons, continuons. (Tout le monde se replace.)LE BARROIS(lisant, à table. ) "Par-devant maître Le Barrois et son collègue…"LE MARQUISComment, vous recommencez ?BLANCHEOn pourrait passer les noms… nous les connaissons.GARGARETArrivons aux apports des...
ALBERT(au marquis.) Si ça ne vous dérange pas, nous pourrions faire ici notre petite expertise.LE MARQUIS(se levant.) Tout de suite ! excellente idée !LE BARROISPardon… mais le contrat ?LE MARQUISEh bien, vous continuerez… vous en étiez à l'Enlèvement des Sabines…GARGARET(se...
GARGARET(à part, ôtant ses gants) . Ce marquis est d'une vivacité !… c'est la poudre !… mais ma femme est charmante. Pourquoi m'a-t-elle parlé des tours Notre-Dame ?… Je lui demanderai ça ce soir… ça nous fera un sujet de...
MUSEROLLE(paraissant au fond ; il tient à la main une valise qu'il dépose en entrant.) Ah ! le voici, ce cher ami.GARGARETTu ne pouvais pas mieux tomber, tu vas me boutonner mes gants.MUSEROLLEVolontiers… Dis donc… tu as une portière très...
MUSEROLLE(seul.) Oh ! oui !… il m'a rendu un de ces services !… Ma femme me trompait… oh ! mais carrément ! Moi, je ne me doutais de rien, j'étais heureux, tranquille, confiant… tout le monde le savait et personne...
JULIETTE (SEULE.)Est-il drôle, ce bonhomme-là ! Tiens ! il a oublié sa valise. (Elle la prend.)ALBERT(entrant par le fond, à gauche) . Vous pouvez ranger par là, j'ai fini.JULIETTEBien, monsieur. (Elle sort avec la valise par la même, porte que...
LE MARQUIS(avec solennité.) Nous sommes seuls… Approchez, Gargaret…GARGARETOh ! ça ne pressait pas… Vous me l'auriez donnée un autre jour.LE MARQUISQuoi ?GARGARETLa dot…LE MARQUISIl ne s'agit pas de cela… elle est dans le secrétaire, c'est ma femme qui en a...
GARGARET(seul, s'essuyant la joue.) Sapristi ! il m'a mouillé… C'est égal, c'est ennuyeux d'avoir une femme dont la mère a traversé le Niagara avec une brouette !MUSEROLLE(entrant ; il a changé de costume.) Me voilà sous les armes ! (À...
LUCIE(en toilette de voyage.) Ah !… Je croyais mon oncle ici…GARGARETIl me quitte… Ma chère Lucie, permettez-moi de vous présenter M. Muserolle… un ami…MUSEROLLEUn frère !LUCIE(le saluant.) Monsieur… enchantée… Elle remonte.GARGARET(bas à Muserolle.) Comment la trouves-tu ?MUSEROLLE(de même.) Ah !...
(À Bondy, chez Gargaret. Un petit salon, ameublement de campagne. — Portes latérales. — Portes au fond. — À gauche, une cheminée ; dans le coin de la cheminée, un paquet de cannes. — Au fond, pans coupés, avec portes...
LUCIE (SEULE)(Au lever du rideau, Lucie, en déshabillé de nuit, entre avec précaution par la porte de gauche. Elle tient à la main une allumette qu'elle frotte, puis elle va allumer une bougie ; elle regarde parmi les cannes, elle...
MUSEROLLE (SEUL)(À peine Lucie a-t-elle disparu par le fond que Muserolle entre par la porte de droite avec précaution. Il est en tenue du matin. Il frotte une allumette et allume la bougie que vient de souffler Lucie. Il prend...
(Aussitôt que Muserolle est sorti, Gargaret paraît à la porte de gauche. Il porte un pet-en-l'air et un foulard de nuit sur la tête. Il frotte une allumette-bougie qu'il garde allumée entre ses doigts tout en parlant.)GARGARETJe suis inquiet… Pourquoi...
BLANCHENous voilà ! Gargaret, bonjour.GARGARETChère tante ! (Le Marquis, très ému, embrassant Gargaret.)GARGARETmon enfant !… mon fils !…GARGARET(s'essuyant la joue et à part.) Mon Dieu, qu'il a là une mauvaise habitude ! (Le domestique sort.)LE MARQUIS(montrant Dupaillon.) J'ai pris la...
GARGARET(seul.) C'est une vieille bouteille que j'ai achetée avec l'immeuble… je ne sais pas si c'est de l'huile ou du rhum. (Il la prend dans un petit meuble à gauche.) Mais où diable est Muserolle ? je ne l'ai pas...
ALBERTLucie, je vous avais promis de venir… Me voici.LUCIEMonsieur Albert, il faut vous en aller ; je ne puis plus vous écouter maintenant… je suis mariée.ALBERTMariée ! c'est atroce ! Quand je pense que cet homme sans prestige, que cet...
ALBERT(à part.) Comment faire pour rester ?GARGARETVoilà votre papier…ALBERT(le prenant. ) Merci… ça ne pressait pas… Vous avez une charmante habitation…GARGARETOui… c'est assez gentil… (À part.) Est-ce qu'il ne va pas s'en aller ?ALBERTEt meublée avec un goût… Quel dommage...
GARGARET(apercevant Muserolle qui entre.) Tiens ! te voilà ! dépêche-toi, on est à table.MUSEROLLEJe suis en retard, mais je m'occupais de toi…GARGARETJe suis en affaire avec monsieur. ( Il démasque Albert.)MUSEROLLEAh ! ah ! (À part.) Le petit au parapluie ...
MUSEROLLE(seul.) J'ai une chance inouïe… Voici le billet que j'ai trouvé dans la canne du jeune Albert Fragil !… Un rendez-vous un jour de noces !… Elle va bien, la petite mariée !… Avant de prévenir Gargaret, j'ai fait demander...
MUSEROLLE(seul.) Quel peut être ce monsieur d'un grand sens et d'un grand tact ? Au reste, s'il n'est pas de mon avis, ça m'est égal ; j'ai promis de le dire et je le dirai !BLANCHE(entrant, un bouquet à la...
LE MARQUISEh bien ! êtes-vous d'accord ?MUSEROLLE ET BLANCHETout à fait.LE MARQUIS(à Muserolle, lui indiquant Blanche.) Je vous présente ma femme…MUSEROLLE(stupéfait. ) Hein !… vous dites ?LE MARQUISL'ange de mon foyer !… (À Blanche.) Venez, ma chère, le café refroidit.BLANCHE(à...
MUSEROLLE(seul. ) Sa femme !… de mon vivant !… Ah ! c'est trop fort ! (Boutonnant son habit.) Je vais chercher la gendarmerie ! (Il sort, puis rentre aussitôt.) Pas si vite ! On me forcerait peut-être à la reprendre ...
MUSEROLLE(seul.) Certainement je ne suis pas un lâcheur, mais, dame ! quand on retrouve sa femme mariée à un autre… Quel toupet !… et quelles épaules ! (Souriant.) Elle est devenue superbe !… Elle est rondelette… Ce n'est pas à...
BLANCHE(entrant par la gauche.) Oh ! c'est vous, mon ami ! (Le marquis la fait asseoir sur le divan, à droite.)LE MARQUISOui, Blanche, vous quittez votre nièce : est-ce que la vue de cette jeune épouse, l'aspect de ce couple...
BLANCHE(seule.) Jusqu'à demain matin. Eh bien, et l'autre ! Je le croyais perdu, disparu, et il revient tout exprès pour m'être désagréable… Il va me demander des explications ; et le marquis qui m'a présentée comme sa femme ! (Elle...
BLANCHE(au marquis, avec aplomb.) Entrez donc, mon ami, vous n'êtes pas de trop.LE MARQUISAh ! vraiment ?… j'aurais cru…BLANCHEVoilà M. Muserolle qui prétend lire l'avenir dans les lignes de la main… il me disait ma bonne aventure.MUSEROLLEMon Dieu, oui, je…...
LE MARQUIS(éclatant.) Enfin il est parti ! Madame, remettez-moi cette bague que votre amant vient de vous passer au doigt.BLANCHEComment ?LE MARQUISJ'ai tout vu, madame. Cette bague ?BLANCHE(lui tendant la main.) Eh bien, soit, prenez-la… si vous le pouvez…LE MARQUISNous...
(Le Marquis va à la cheminée et sonne, un domestique paraît.)LE MARQUISPriez M. Muserolle de venir me parler. (Le domestique sort par le fond. Gaiement.) Je vais lui demander la main de sa nièce ! De sa nièce… je vais...
MUSEROLLE(seul.) Des preuves ! C'est bien simple… je vais redemander le billet à Gargaret…ALBERT(entrant suivi de Gargaret ; il ferme le carnet qu'il tient à la main.) Voilà l'estimation terminée.GARGARET(gaiement.) Maintenant, je puis brûler tous mes voisins. (À Albert.) Quand...
BLANCHE(entrant avec tout le monde. ) Charmante journée !… Ces ombrages sont d'une fraîcheur…GARGARET BLANCHE ET LUCIEAh ! c'est bien vrai !… Ah ! c'est bien vrai !LE MARQUIS(s'est rapproché de Muserolle et lui présente sa montre, bas.) Moins quatre ...
(Le cabinet de Gargaret. — Au fond, grand vitrage avec rideaux verts, une porte donnant sur les magasins. — Portes latérales, troisième plan. — À gauche deuxième plan, une cheminée, du même côté ; au premier plan, une armoire dans...
(Au lever du rideau, Dominique est à la presse qui est au bout de la table.)UNE VOIX(dans la coulisse.) Dominique ! Dominique !MUSEROLLE(assis à la table et écrivant.) Vous n'entendez donc pas ? on vous appelle.DOMINIQUEJe passe le copie-lettres sous...
(Le marquis paraît au fond ; il tient à la main l'ordre la Grande Pivoine jaune et s'avance en souriant vers Muserolle.)MUSEROLLE(apercevant la décoration, à part.) Il va me décorer !… Il ne perd pas de temps !LE MARQUIS(à Muserolle)...
MUSEROLLE(seul. ) Elle me fait passer pour son oncle… Ça me donne mes entrées… Elle est très forte ! mais le nœud de diamants est de trop… nous en causerons ce soir… À propos, et ma lettre que j'oublie… (...
GARGARET(entrant par le fond avec une petite caisse à la main.) Bonjour, Muserolle. (À Albert.) Une caisse d'échantillons à expédier, grande vitesse.ALBERT(prenant la caisse.) Bon.GARGARETLe facteur n'est pas venu ?ALBERTNon.GARGARETJ'attends une lettre de Chéradame, de Nantes… il m'écrit : "Envoyez-moi...
LE MARQUIS(à Muserolle et à Gargaret.) Il faut que je vous parle… à l'instant, sans témoins…MUSEROLLE(à part.) Ah ! mon Dieu ! qu'est-ce qu'il a ?LE MARQUIS(à Albert.) Vous, vous n'en êtes pas !GARGARET(à Albert.) Va faire partir la caisse.ALBERTÀ...
GARGARET(au marquis.) Voyous… Qu'est-ce qu'il y a ?LE MARQUISEh bien, ça y est ! (À Muserolle.) Vous aviez raison… ma femme papillonne.MUSEROLLEEncore !LE MARQUISComment, encore ?MUSEROLLENon… Je veux dire… encore des soupçons !LE MARQUISAh ! cette fois, je suis sûr...
GARGARETEst-il possible ? Toi ! Ma tante !MUSEROLLEMon ami, ne va pas te figurer des choses… Il n'y a rien…GARGARETS'il n'y a rien, il faut le dire au marquis.MUSEROLLEGarde-t-en bien !GARGARETAlors il y a quelque chose… et, s'il y a...
ALBERT(entrant par la droite avec des papiers à la main, à Gargaret.) Des factures à signer.GARGARETTrès bien… passe-moi (Il prend les papiers, va s'asseoir à la table et signe. À Albert.) Le facteur n'est pas arrivé ?ALBERTNon.GARGARETJ'attends toujours la lettre...
GARGARET(regardant Albert qui s'est approché de la table et consulte des papiers, à part.) Je ne puis croire qu'avec cette figure honnête et cet air piocheur… Ordinairement l'homme qui pioche ne pense pas à mal… Cependant ce que vient de...
ALBERT(éclatant. ) Non, c'est impossible… la position n'est pas tenable !LUCIEQu'avez-vous donc ?ALBERTJe ne puis assister plus longtemps au développement de vos effusions, conjugales !… "Bonjour, ma bichette !… Adieu, ma bichette !…" Et il vous embrasse ! et il...
GARGARET(seul. ) Il est bon que, dans une maison d'une certaine importance, un des associés connaisse à fond l'orthographe.MUSEROLLE(entre très effaré par le fond ; il est débraillé, sa redingote est déchirée dans le dos.) Au secours ! cache-moi !GARGARETMuserolle ...
LE MARQUIS(entrant avec Albert.) Je le trouverai ! Je le tuerai et je le mangerai !ALBERT(cherchant à le calmer.) Voyons ; marquis !LE MARQUISJ'écume, je grince, j'étrangle. (À Gargaret.) Où est-il ?GARGARET ET MUSEROLLEQui ça ?LE MARQUISDes passants m'ont dit...
MUSEROLLE(se levant vivement. ) Il est parti ! (Prenant son chapeau et en arrachant rapidement la coiffe. À part.) Faisons disparaître ces initiales…ALBERT(le regardant faire. ) Oui… c'est prudent, ce que vous faites là.MUSEROLLEQuoi ?ALBERTAh ! je vous tiens à...
ALBERTOh !MUSEROLLE(à part.) Oh !GARGARETLa lettre de Chéradame… Ah ! le facteur est arrivé.ALBERT(très effrayé.) Non !… c'est ton acte d'association… (Bas.) Plein de fautes d'orthographe !GARGARET(lui rendant sa lettre, bas.) Cache ça ! cache ça ! (Il lui serre...
LE MARQUIS(entrant, sa figure est souriante.) Ah ! je suis plus calme… C'était bien le coiffeur qui était chez moi… .TOUSAh !LE MARQUISBlanche m'a donné le fer à papillotes… Le voici… (Il le montre.) Et puis le musc ! Il...
(Un jardin. A droite, la maison d'habitation. A gauche, un petit bâtiment servant d'orangerie. Un jeu de tonneau au fond. Chaises, bancs et tables de jardin.PIGET, POMADOUR, COURTINAu lever du...
(Un salon de campagne, ouvrant au fond sur un jardin. Un buffet. Un râtelier avec un fusil de chasse, une poire à poudre et un sac à plomb. Portes latérales....
Un salon de campagne, porte au fond, portes latérales dans les pans coupés de droite et de gauche. — Une fenêtre à droite. Sur le devant, à droite, un guéridon....
(BLANCMINET; PUIS ANTOINE; PUIS BOURGILLON; PUIS LOISEAU Le théâtre représente un jardin. Grille d'entrée au fond ; à droite, l'étude ; à gauche, un pavillon servant à serrer des instruments...
(Le théâtre représente un salon chez Lépinois. À droite, guéridon. À gauche, cheminée et canapé.)Laure Madame Lépinois Thérèse(Au lever au rideau, madame Lépinois et Laure s'essuient les yeux. Madame Lépinois...
(Le théâtre représente une chambre à coucher. — Au fond, au milieu, un lit avec des rideaux. À côté, une table de nuit. À droite et à gauche du lit,...
Le théâtre représente une salle à manger. — Porte au fond. — Deux portes latérales au premier plan. — Sur le deuxième plan, à la droite du public, une porte...
(Invités des deux sexes. - Gens de la noce.)(La scène est à Paris.)(Chez Fadinard)(Un salon octogone. — Au fond, porte à deux battants s'ouvrant sur la scène. — Une porte...
(Une place. — Un café avec une tente et des tables à gauche. — Une maison à droite, portant le numéro 7 et dont la porte est surmontée d'une enseigne...
(Un salon. — Porte principale au fond. — Portes latérales. — Dans les deux pans coupés, deux autres portes, vitrées et garnies de rideaux blancs : celle de gauche conduit...