Le Chandelier
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ACTE PREMIER - Scène II

Alfred de Musset

ACTE PREMIER - Scène II


(Un petit jardin.FORTUNIO, LANDRY ET GUILLAUME, ASSIS.)

FORTUNIO
Vraiment, cela est singulier, et cette aventure est étrange.

LANDRY
N'allez pas en jaser, au moins ; vous me feriez mettre dehors.

FORTUNIO
Bien étrange et bien admirable. Oui, quel qu'il soit, c'est un homme heureux.

LANDRY
Promettez-moi de n'en rien dire ; maître André me l'a fait jurer.

GUILLAUME
De son prochain, du roi et des femmes, il n'en faut pas souffler le mot.

FORTUNIO
Que de pareilles choses existent, cela me fait bondir le cœur. Vraiment, Landry, tu as vu cela ?

LANDRY
C'est bon ; qu'il n'en soit plus question.

FORTUNIO
Tu as entendu marcher doucement ?

LANDRY
À pas de loup derrière le mur.

FORTUNIO
Craquer doucement la fenêtre ?

LANDRY
Comme un grain de sable sous le pied.

FORTUNIO
Puis, sur le mur, l'ombre d'un homme, quand il a franchi la poterne ?

LANDRY
Comme un spectre, dans son manteau.

FORTUNIO
Et une main derrière le volet ?

LANDRY
Tremblante comme la feuille.

FORTUNIO
Une lueur dans la galerie, puis un baiser, puis quelques pas lointains ?

LANDRY
Puis le silence, les rideaux qui se tirent, et la lueur qui disparaît.

FORTUNIO
Si j'avais été à ta place, je serais resté jusqu'au jour.

GUILLAUME
Est-ce que tu es amoureux de Jacqueline ? Tu aurais fait là un joli métier !

FORTUNIO
Je jure devant Dieu, Guillaume, qu'en présence de Jacqueline je n'ai jamais levé les yeux. Pas même en songe, je n'oserais l'aimer. Je l'ai rencontrée au bal une fois ; ma main n'a pas touché la sienne, ses lèvres ne m'ont jamais parlé. De ce qu'elle fait ou de ce qu'elle pense, je n'en ai de ma vie rien su, sinon qu'elle se promène ici l'après-midi, et que j'ai soufflé sur nos vitres pour la voir marcher dans l'allée.

GUILLAUME
Si tu n'es pas amoureux d'elle, pourquoi dis-tu que tu serais resté ? Il n'y avait rien de mieux à faire que ce qu'a fait justement Landry : aller conter nettement la chose à maître André, notre patron.

FORTUNIO
Landry a fait comme il lui a plu. Que Roméo possède Juliette ! je voudrais être l'oiseau matinal qui les avertit du danger.

GUILLAUME
Te voilà bien, avec tes fredaines ! Quel bien cela peut-il te faire que Jacqueline ait un amant ? C'est quelque officier de la garnison.

FORTUNIO
J'aurais voulu être dans l'étude ; j'aurais voulu voir tout cela.

GUILLAUME
Dieu soit béni ! c'est notre libraire qui t'empoisonne avec ses romans. Que te revient-il de ce conte ? D'être Gros-Jean comme devant. N'espères-tu pas, par hasard, que tu pourras avoir ton tour ? Eh ! oui, sans doute, monsieur se figure qu'on pensera quelque jour à lui. Pauvre garçon ! tu ne connais guère nos belles dames de province. Nous autres, avec nos habits noirs, nous ne sommes que du fretin, bon tout au plus pour les couturières. Elles ne tâtent que du pantalon rouge, et une fois qu'elles y ont mordu, qu'importe que la garnison change ? Tous les militaires se ressemblent ; qui en aime un en aime cent. Il n'y a que le revers de l'habit qui change, et qui de jaune devient vert ou blanc. Du reste, ne retrouvent-elles pas la moustache retroussée de même, la même allure de corps de garde, le même langage et le même plaisir ? Ils sont tous faits sur un modèle ; à la rigueur, elles peuvent s'y tromper.

FORTUNIO
Il n'y a pas à causer avec toi : tu passes tes fêtes et dimanches à regarder des joueurs de boule.

GUILLAUME
Et toi, tout seul à ta fenêtre, le nez fourré dans tes giroflées. Voyez la belle différence ! Avec tes idées romanesques, tu deviendras fou à lier. Allons ! rentrons ; à quoi penses-tu ? il est l'heure de travailler.

FORTUNIO
Je voudrais bien avoir été avec Landry cette nuit dans l'étude.
(Ils sortent. Entrent Jacqueline et sa servante.)

JACQUELINE
Nos prunes seront belles cette année, et nos espaliers ont bonne mine. Viens donc un peu de ce côté-ci, et asseyons-nous sur ce banc.

LA SERVANTE
C'est donc que madame ne craint pas l'air, car il ne fait pas chaud ce matin.

JACQUELINE
En vérité, depuis deux ans que j'habite cette maison, je ne crois pas être venue deux fois dans cette partie du jardin. Regarde donc ce pied de chèvrefeuille. Voilà des treillis bien plantés pour faire grimper les clématites.

LA SERVANTE
Avec cela que madame n'est pas couverte ; elle a voulu descendre en cheveux.

JACQUELINE
Dis-moi, puisque te voilà : qu'est-ce que c'est donc que ces jeunes gens qui sont là dans la salle basse ? Est ce que je me trompe ? Je crois qu'ils nous regardent ; ils étaient tout à l'heure ici.

LA SERVANTE
Madame ne les connaît donc pas ? Ce sont les clercs de maître André.

JACQUELINE
Ah ! est-ce que tu les connais, toi, Madelon ? Tu as l'air de rougir en disant cela.

LA SERVANTE
Moi, madame ! pourquoi donc faire ? Je les connais de les voir tous les jours ; et encore, je dis tous les jours. Je n'en sais rien, si je les connais.

JACQUELINE
Allons ! avoue que tu as rougi. Et au fait, pourquoi t'en défendre ? Autant que je puis en juger d'ici, ces garçons ne sont pas si mal. Voyons ! lequel préfères-tu ? fais-moi un peu tes confidences. Tu es belle fille, Madelon ; que ces jeunes gens te fassent la cour, qu'y a-t-il de mal à cela ?

LA SERVANTE
Je ne dis pas qu'il y ait du mal ; ces jeunes gens ne manquent pas de bien, et leurs familles sont honorables. Il y a là un petit blond ; les grisettes de la Grand'Rue ne font pas fi de son coup de chapeau.

JACQUELINE(s'approchant de la maison.)
Qui ? celui-là avec sa moustache ?

LA SERVANTE
Oh ! que non. C'est M. Landry, un grand flandrin qui ne sait que dire.

JACQUELINE
C'est donc cet autre qui écrit ?

LA SERVANTE
Nenni, nenni ; c'est M. Guillaume, un honnête garçon bien rangé ; mais ses cheveux ne frisent guère, et ça fait pitié, le dimanche, quand il veut se mettre à danser.

JACQUELINE
De qui veux-tu donc parler ? Je ne crois pas qu'il y en ait d'autres que ceux-là dans l'étude.

LA SERVANTE
Vous ne voyez pas à la fenêtre ce jeune homme propre et bien peigné ? Tenez ! le voilà qui se penche ; c'est le petit Fortunio.

JACQUELINE
Oui-da, je le vois maintenant. Il n'est pas mal tourné, ma foi, avec ses cheveux sur l'oreille et son petit air innocent. Prenez garde à vous, Madelon, ces anges-là font déchoir les filles. Et il fait la cour aux grisettes, ce monsieur-là, avec ses yeux bleus ? Eh bien ! Madelon, il ne faut pas pour cela baisser les vôtres d'un air si renchéri. Vraiment, on peut moins bien choisir. Il sait donc que dire, celui-là, et il a un maître à danser ?

LA SERVANTE
Révérence parler, madame, si je le croyais amoureux, ici, ce ne serait pas de si peu de chose. Si vous aviez tourné la tête quand vous passiez dans le quinconce, vous l'auriez vu plus d'une fois, les bras croisés, la plume à l'oreille, vous regarder tant qu'il pouvait.

JACQUELINE
Plaisantez-vous, mademoiselle, et pensez-vous à qui vous parlez ?

LA SERVANTE
Un chien regarde bien un évêque, et il y en a qui disent que l'évêque n'est pas fâché d'être regardé du chien. Il n'est pas si sot, ce garçon, et son père est un riche orfèvre. Je ne crois pas qu'il y ait d'injure à regarder passer les gens.

JACQUELINE
Qui vous a dit que c'est moi qu'il regarde ? Il ne vous a pas, j'imagine, fait de confidences là- dessus.

LA SERVANTE
Quand un garçon tourne la tête, allez ! madame, il ne faut guère être femme pour ne pas deviner où les yeux s'en vont. Je n'ai que faire de ses confidences, et on ne m'apprendra que ce que j'en sais.

JACQUELINE
J'ai froid. Allez me chercher un châle, et faites-moi grâce de vos propos.
(La servante sort.)

JACQUELINE(seule.)
Si je ne me trompe, c'est le jardinier que j'ai aperçu entre ces arbres. Holà ! Pierre, écoutez.

LE JARDINIER(entrant.)
Vous m'avez appelé, madame ?

JACQUELINE
Oui, entrez là ; demandez un clerc qui s'appelle Fortunio. Qu'il vienne ici ; j'ai à lui parler.
(Le jardinier sort. Un instant après entre Fortunio.)

FORTUNIO
Madame, on se trompe sans doute ; on vient de me dire que vous me demandiez.

JACQUELINE
Asseyez-vous, on ne se trompe pas. — Vous me voyez, monsieur Fortunio, fort embarrassée, fort en peine. Je ne sais trop comment vous dire ce que j'ai à vous demander, ni pourquoi je m'adresse à vous.

FORTUNIO
Je ne suis que troisième clerc ; s'il s'agit d'une affaire d'importance, Guillaume, notre premier clerc, est là ; souhaitez-vous que je l'appelle ?

JACQUELINE
Mais non. Si c'était une affaire, est-ce que je n'ai pas mon mari ?

FORTUNIO
Puis-je être bon à quelque chose ? Veuillez parler avec confiance. Quoique bien jeune, je mourrais de bon cœur pour vous rendre service.

JACQUELINE
C'est galamment et vaillamment parler ; et cependant, si je ne me trompe, je ne suis pas connue de vous.

FORTUNIO
L'étoile qui brille à l'horizon ne connaît pas les yeux qui la regardent ; mais elle est connue du moindre pâtre qui chemine sur le coteau.

JACQUELINE
C'est un secret que j'ai à vous dire, et j'hésite par deux motifs : d'abord vous pouvez me trahir, et en second lieu, même en me servant, prendre de moi mauvaise opinion.

FORTUNIO
Puis-je me soumettre à quelque épreuve ? Je vous supplie de croire en moi.

JACQUELINE
Mais, comme vous dites, vous êtes bien jeune. Vous-même, vous pouvez croire en vous, et ne pas toujours en répondre.

FORTUNIO
Vous êtes plus belle que je ne suis jeune ; de ce que mon cœur sent, j'en réponds.

JACQUELINE
La nécessité est imprudente. Voyez si personne n'écoute.

FORTUNIO
Personne ; ce jardin est désert, et j'ai fermé la porte de l'étude.

JACQUELINE
Non, décidément, je ne puis parler ; pardonnez-moi cette démarche inutile, et qu'il n'en soit jamais question.

FORTUNIO
Hélas ! madame, je suis bien malheureux ! il en sera comme il vous plaira.

JACQUELINE
C'est que la position où je suis n'a vraiment pas le sens commun. J'aurais besoin, vous l'avouerai- je ? non pas tout à fait d'un ami, et cependant d'une action d'ami. Je ne sais à quoi me résoudre. Je me promenais dans ce jardin, en regardant ces espaliers ; et je vous dis, je ne sais pourquoi, je vous ai vu à cette fenêtre, j'ai eu l'idée de vous faire appeler.

FORTUNIO
Quel que soit le caprice du hasard à qui je dois cette faveur, permettez-moi d'en profiter. Je ne puis que répéter mes paroles : je mourrais de bon cœur pour vous.

JACQUELINE
Ne me le répétez pas trop ; c'est le moyen de me faire taire.

FORTUNIO
Pourquoi ? c'est le fond de mon cœur.

JACQUELINE
Pourquoi ? pourquoi ? vous n'en savez rien, et je n'y veux seulement pas penser. Non ; ce que j'ai à vous demander ne peut avoir de suite aussi grave, Dieu merci ! c'est un rien, une bagatelle. Vous êtes un enfant, n'est-ce pas ? Vous me trouvez peut-être jolie, et vous m'adressez légèrement quelques paroles de galanterie. Je les prends ainsi, c'est tout simple ; tout homme à votre place en pourrait dire autant.

FORTUNIO
Madame, je n'ai jamais menti. Il est bien vrai que je suis un enfant, et qu'on peut douter de mes paroles ; mais telles qu'elles sont, Dieu peut les juger.

JACQUELINE
C'est bon, vous savez votre rôle, et vous ne vous dédisez pas. En voilà assez là-dessus ; prenez donc ce siège et mettez-vous là.

FORTUNIO
Je le ferai pour vous obéir.

JACQUELINE
Pardonnez-moi une question qui pourra vous sembler étrange. Madeleine, ma femme de chambre, m'a dit que votre père était joaillier. Il doit se trouver en rapport avec les marchands de la ville.

FORTUNIO
Oui, madame ; je puis dire qu'il n'en est guère d'un peu considérable qui ne connaisse notre maison.

JACQUELINE
Par conséquent, vous avez occasion d'aller et de venir dans le quartier marchand, et on connaît votre visage dans les boutiques de la Grand'Rue ?

FORTUNIO
Oui, madame, pour vous servir.

JACQUELINE
Une femme de mes amies a un mari avare et jaloux. Elle ne manque pas de fortune, mais elle ne peut en disposer. Ses plaisirs, ses goûts, sa parure, ses caprices, si vous voulez, quelle femme vit sans caprice ? Tout est réglé et contrôlé. Ce n'est pas qu'au bout de l'année elle ne se trouve en position de faire face à de grosses dépenses ; mais chaque mois, presque chaque semaine, il lui faut compter, disputer, calculer tout ce qu'elle achète. Vous comprenez que la morale, tous les sermons d'économie possibles, toutes les raisons des avares, ne font pas faute aux échéances ; enfin, avec beaucoup d'aisance, elle mène la vie la plus gênée. Elle est plus pauvre que son tiroir, et son argent ne lui sert de rien. Qui dit toilette, en parlant des femmes, dit un grand mot, vous le savez. Il a donc fallu, à tout prix, user de quelque stratagème. Les mémoires des fournisseurs ne portent que ces dépenses banales que le mari appelle "de première nécessité" ; ces choses-là se paient au grand jour ; mais, à certaines époques convenues, certains autres mémoires secrets font mention de quelques bagatelles que la femme appelle à son tour "de seconde nécessité", qui est la vraie, et que les esprits mal faits pourraient nommer du superflu. Moyennant quoi, tout s'arrange à merveille ; chacun y peut trouver son compte, et le mari, sûr de ses quittances, ne se connaît pas assez en chiffons pour deviner qu'il n'a pas payé tout ce qu'il voit sur l'épaule de sa femme.

FORTUNIO
Je ne vois pas grand mal à cela.

JACQUELINE
Maintenant donc, voilà ce qui arrive : le mari, un peu soupçonneux, a fini par s'apercevoir, non du chiffon de trop, mais de l'argent de moins. Il a menacé ses domestiques, frappé sur sa cassette et grondé ses marchands. La pauvre femme abandonnée n'y a pas perdu un louis ; mais elle se trouve, comme un nouveau Tantale, dévorée du matin au soir de la soif des chiffons. Plus de confidents, plus de mémoires secrets, plus de dépenses ignorées. Cette soif pourtant la tourmente ; à tout hasard elle cherche à l'apaiser. Il faudrait qu'un jeune homme adroit, discret surtout, et d'assez haut rang dans la ville pour n'éveiller aucun soupçon, voulût aller visiter les boutiques, et y acheter, comme pour lui-même, ce dont elle peut et veut avoir besoin. Il faudrait qu'il eût, tout d'abord, facile accès dans la maison ; qu'il pût entrer et sortir avec assurance ; qu'il eût bon goût, cela est clair, et qu'il sût choisir à propos. Peut-être serait-ce un heureux hasard s'il se trouvait par là, dans la ville, quelque jolie et coquette fille, à qui on sût qu'il fît sa cour. N'êtes-vous pas dans ce cas, je suppose ? Ce hasard-là justifierait tout. Ce serait alors pour la belle que les emplettes seraient censées se faire. Voilà ce qu'il faudrait trouver.

FORTUNIO
Dites à votre amie que je m'offre à elle ; je la servirai de mon mieux.

JACQUELINE
Mais si cela se trouvait ainsi, vous comprenez, n'est-il pas vrai, que, pour avoir dans la maison le libre accès dont je vous parle, le confident devrait s'y montrer autre part qu'à la salle basse ? Vous comprenez qu'il faudrait que sa place fût à la table et au salon ? Vous comprenez que la discrétion est une vertu trop difficile pour qu'on lui manque de reconnaissance, mais qu'en outre du bon vouloir, le savoir-faire n'y gâterait rien ? Il faudrait qu'un soir, je suppose comme ce soir, s'il faisait beau, il sût trouver la porte entr'ouverte et apporter un bijou furtif comme un hardi contrebandier. Il faudrait qu'un air de mystère ne trahît jamais son adresse ; qu'il fût prudent, leste et avisé ; qu'il se souvînt d'un proverbe espagnol qui mène loin ceux qui le suivent : "Aux audacieux Dieu prête la main".

FORTUNIO
Je vous en supplie, servez-vous de moi.

JACQUELINE
Toutes ces conditions remplies, pour peu qu'on fût sûr du silence, on pourrait dire au confident le nom de sa nouvelle amie. Il recevrait alors sans scrupule, adroitement comme une jeune soubrette, une bourse dont il saurait l'emploi. Preste ! j'aperçois Madeleine qui vient m'apporter mon manteau. Discrétion et prudence, adieu. L'amie, c'est moi ; le confident, c'est vous ; la bourse est là au pied de la chaise.
(Elle sort. — Guillaume et Landry sur le pas de la porte.)

GUILLAUME
Holà ! Fortunio ; maître André est là qui t'appelle.

LANDRY
Il y a de l'ouvrage sur ton bureau. Que fais-tu là hors de l'étude ?

FORTUNIO
Hein ? plaît-il ? que me voulez-vous ?

GUILLAUME
Nous te disons que le patron te demande.

LANDRY
Arrive ici ; on a besoin de toi. À quoi songe donc ce rêveur ?

FORTUNIO
En vérité, cela est singulier, et cette aventure est étrange.
(Ils sortent.)


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