Cinq Semaines en ballon
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Inquiétudes du docteur Fergusson. — Direction persistante vers le sud. — Un nuage de sauterelles. — Vue de Jenné. — Vue de Ségo. — Changement de vent. — Regrets de Joe.

Jules Verne

Inquiétudes du docteur Fergusson. — Direction persistante vers le sud. — Un nuage de sauterelles. — Vue de Jenné. — Vue de Ségo. — Changement de vent. — Regrets de Joe.

Le lit du fleuve était alors partagé par de grandes îles en branches étroites d’un courant fort rapide. Sur l’une d’entre elles s’élevaient quelques cases de bergers ; mais il fut impossible d’en faire un relèvement exact, car la vitesse du Victoria s’accroissait toujours. Malheureusement, il inclinait encore plus au sud et franchit en quelques instants le lac Debo.

Fergusson chercha à diverses élévations, en forçant extrêmement sa dilatation, d’autres courants dans l’atmosphère, mais en vain. Il abandonna promptement cette manœuvre, qui augmentait encore la déperdition de son gaz, en le pressant contre les parois fatiguées de l’aérostat.

Il ne dit rien, mais il devint fort inquiet. Cette obstination du vent à le rejeter vers la partie méridionale de l’Afrique déjouait ses calculs. Il ne savait plus sur qui ni sur quoi compter. S’il n’atteignait pas les territoires anglais ou français, que devenir au milieu des barbares qui infestaient les côtes de Guinée ? Comment y attendre un navire pour retourner en Angleterre ? Et la direction actuelle du vent le chassait sur le royaume de Dahomey, parmi les peuplades les plus sauvages, à la merci d’un roi qui, dans les fêtes publiques, sacrifiait des milliers de victimes humaines ! Là, on serait perdu.

D’un autre côté, le ballon se fatiguait visiblement, et le docteur le sentait lui manquer ! Cependant, le temps se levant un peu, il espéra que la fin de la pluie amènerait un changement dans les courants atmosphériques.

Il fut donc désagréablement ramené au sentiment de la situation par cette réflexion de Joe :

« Bon ! disait celui-ci, voici la pluie qui va redoubler, et cette fois, ce sera le déluge, s’il faut en juger par ce nuage qui s’avance !

— Encore un nuage ! dit Fergusson.

— Et un fameux ! répondit Kennedy.

— Comme je n’en ai jamais vu, répliqua Joe, avec des arêtes tirées au cordeau.

— Je respire, dit le docteur en déposant sa lunette. Ce n’est pas un nuage.

— Par exemple ! fit Joe.

— Non ! c’est une nuée !

— Eh bien ?

— Mais une nuée de sauterelles.

— Ça, des sauterelles !

— Des milliards de sauterelles qui vont passer sur ce pays comme une trombe, et malheur à lui, car si elles s’abattent, il sera dévasté !

— Je voudrais bien voir cela !

— Attends un peu, Joe ; dans dix minutes, ce nuage nous aura atteints et tu en jugeras par tes propres yeux. »

Fergusson disait vrai ; ce nuage épais, opaque, d’une étendue de plusieurs milles, arrivait avec un bruit assourdissant, promenant sur le sol son ombre immense ; c’était une innombrable légion de ces sauterelles auxquelles on a donné le nom de criquets. À cent pas du Victoria, elles s’abattirent sur un pays verdoyant ; un quart d’heure plus tard, la masse reprenait son vol, et les voyageurs pouvaient encore apercevoir de loin les arbres, les buissons entièrement dénudés, les prairies comme fauchées. On eût dit qu’un subit hiver venait de plonger la campagne dans la plus profonde stérilité.

« Eh bien, Joe ?

— Eh bien ! Monsieur, c’est fort curieux, mais fort naturel. Ce qu’une sauterelle ferait en petit, des milliards le font en grand.

— C’est une effrayante pluie, dit le chasseur, et plus terrible encore que la grêle par ses dévastations.

— Et il est impossible de s’en préserver, répondit Fergusson ; quelquefois les habitants ont eu l’idée d’incendier des forêts, des moissons même pour arrêter le vol de ces insectes ; mais les premiers rangs, se précipitant dans les flammes, les éteignaient sous leur masse, et le reste de la bande passait irrésistiblement. Heureusement, dans ces contrées, il y a une sorte de compensation à leurs ravages ; les indigènes recueillent ces insectes en grand nombre et les mangent avec plaisir.

— Ce sont les crevettes de l’air », dit Joe, qui, « pour s’instruire », ajouta-t-il, regretta de n’avoir pu en goûter.

Le pays devint plus marécageux vers le soir ; les forêts firent place à des bouquets d’arbres isolés ; sur les bords du fleuve, on distinguait quelques plantations de tabac et des marais gras de fourrages. Dans une grande île apparut alors la ville de Jenné, avec les deux tours de sa mosquée de terre, et l’odeur infecte qui s’échappait de millions de nids d’hirondelles accumulés sur ses murs. Quelques cimes de baobabs, de mimosas et de dattiers perçaient entre les maisons ; même à la nuit, l’activité paraissait très grande. Jenné est en effet une ville fort commerçante ; elle fournit à tous les besoins de Tembouctou ; ses barques sur le fleuve, ses caravanes par les chemins ombragés, y transportent les diverses productions de son industrie.

« Si cela n’eût pas dû prolonger notre voyage, dit le docteur, j’aurais tenté de descendre dans cette ville ; il doit s’y trouver plus d’un Arabe qui a voyagé en France ou en Angleterre, et auquel notre genre de locomotion n’est peut-être pas étranger. Mais ce ne serait pas prudent.

— Remettons cette visite à notre prochaine excursion, dit Joe en riant.

— D’ailleurs, si je ne me trompe, mes amis, le vent a une légère tendance à souffler de l’est ; il ne faut pas perdre une pareille occasion. »

Le docteur jeta quelques objets devenus inutiles, des bouteilles vides et une caisse de viande qui n’était plus d’aucun usage ; il réussit à maintenir le Victoria dans une zone plus favorable à ses projets. À quatre heures du matin, les premiers rayons du soleil éclairaient Ségo, la capitale du Bambarra, parfaitement reconnaissable aux quatre villes qui la composent, à ses mosquées mauresques, et au va-et-vient incessant des bacs qui transportent les habitants dans les divers quartiers. Mais les voyageurs ne furent pas plus vus qu’ils ne virent ; ils fuyaient rapidement et directement dans le nord-ouest, et les inquiétudes du docteur se calmaient peu à peu.

« Encore deux jours dans cette direction, et avec cette vitesse nous atteindrons le fleuve du Sénégal.

— Et nous serons en pays ami ? demanda le chasseur.

— Pas tout à fait encore ; à la rigueur, si le Victoria venait à nous manquer, nous pourrions gagner des établissements français ! Mais puisse-t-il tenir pendant quelques centaines de milles, et nous arriverons sans fatigues, sans craintes, sans dangers, jusqu’à la côte occidentale.

— Et ce sera fini ! fit Joe. Eh bien, tant pis ! Si ce n’était le plaisir de raconter, je ne voudrais plus jamais mettre pied à terre ! Pensez-vous qu’on ajoute foi à nos récits, mon maître ?

— Qui sait, mon brave Joe ? Enfin, il y aura toujours un fait incontestable ; mille témoins nous auront vu partir d’un côté de l’Afrique ; mille témoins nous verront arriver à l’autre côté.

— En ce cas, répondit Kennedy, il me paraît difficile de dire que nous n’avons pas traversé !

— Ah ! monsieur Samuel ! reprit Joe avec un gros soupir, je regretterai plus d’une fois mes cailloux en or massif ! Voilà qui aurait donné du poids à nos histoires et de la vraisemblance à nos récits. À un gramme d’or par auditeur, je me serais composé une jolie foule pour m’entendre et même pour m’admirer !


Inquiétudes du docteur Fergusson. — Direction persistante vers le sud. — Un nuage de sauterelles. — Vue de Jenné. — Vue de Ségo. — Changement de vent. — Regrets de Joe.
La fin d’un discours très-applaudi. — Présentation du docteur Samuel Fergusson — « Excelsior. » — Portrait en pied du docteur. — Un fataliste convaincu. — Dîner au Traveller’s club. — Nombreux toasts de circonstance.
Un article du « Daily Telegraph. » — Guerre de journaux savants. — M. Petermann soutient son ami le docteur Fergusson. — Réponse du savant Koner. — Paris engagés. — Diverses propositions faites au docteur.
L’ami du docteur. — D’où datait leur amitié. — Dick Kennedy à Londres. — Proposition inattendue, mais point rassurante. — Proverbe peu consolant. — Quelques mots du martyrologe africain — Avantages d’un aérostat. — Le secret du docteur Fergusson.
Explorations africaines. — Barth, Richardson, Overweg, Werne, Brun-Rollet, Pency, Andrea Debono, Miani, Guillaume Lejean, Bruce, Krapf et Rebmann, Maizan, Roscher, Burton et Speke.
Rêves de Kennedy. — Articles et pronoms au pluriel. — Insinuations de Dick. — Promenade sur la carte d’Afrique — Ce qui reste entre les deux pointes du compas. — Expéditions actuelles. — Speke et Grant. — Kraff, de Decken, de Heuglin.
Un domestique impossible. — Il aperçoit les satellites de Jupiter. — Dick et Joe aux prises. — Le doute et la croyance. — Le pesage. — Joe-Wellington. — Il reçoit une demi-couronne.
Détails géométriques. — Calcul de la capacité du ballon. — L’aérostat double. — L’enveloppe. — La nacelle. — L’appareil mystérieux. — Les vivres. — L’addition finale.
Importance de Joe. — Le commandant du Resolute. — L’arsenal de Kennedy. — Aménagements. — Le dîner d’adieu. — Le départ du 21 février. — Séances scientifiques du docteur. — Duveyrier, Livingstone. — Détails du voyage aérien. — Kennedy réduit au silence.
On double le cap. — Le gaillard d’avant — Cours de cosmographie par le professeur Joe. — De la direction des ballons. — De la recherche des courants atmosphériques. — Εὔρηχα.
Essais antérieurs. — Les cinq caisses du docteur. — Le chalumeau à gaz. — Le calorifère. — Manière de manœuvrer. — Succès certain.
Arrivée à Zanzibar. — Le consul anglais. — Mauvaises dispositions des habitants. — L’île Koumbeni. — Les faiseurs de pluie. — Gonflement du ballon. — Départ du 18 avril. — Dernier adieu. — Le Victoria.
Traversée du détroit. — Le Mrima. — Propos de Dick et proposition de Joe. — Recette pour le café. — L’Uzaramo. — L’infortuné Maizan. — Le mont Duthumi. — Les cartes du docteur. — Nuit sur un nopal.
Changement de temps. — Fièvre de Kennedy. — La médecine du docteur. — Voyage par terre. — Le bassin d’Imengé. — Le mont Rubeho. — À six mille pieds. — Une halte de jour.
La forêt de gommiers. — L’antilope bleue. — Le signal de ralliement. — Un assaut inattendu. — Le Kanyenye. — Une nuit en plein air. — Le Mabunguru. — Jihoue-la-Mkoa. — Provision d’eau. — Arrivée à Kazeh.
Kazeh. — Le marché bruyant. — Apparition du Victoria. — Les Wanganga. — Les Fils de la Lune. — Promenade du docteur. — Population. — Le tembé royal. — Les femmes du sultan. — Une ivresse royale. — Joe adoré. — Comment on danse dans la Lune. — Revirement. — Deux lunes au firmament. — Instabilité des grandeurs divines.
Symptômes d’orage. — Le pays de la Lune. — L’avenir du continent africain. — La machine de la dernière heure. — Vue du pays au soleil couchant — Flore et Faune. — L’orage. — La zone de feu. — Le ciel étoilé.
Les montagnes de la Lune. — Un océan de verdure. — On jette l’ancre. — L’éléphant remorqueur. — Feu nourri. — Mort du pachyderme. — Le four de campagne. — Repas sur l’herbe. — Une nuit à terre.
Le Karagwah. — Le lac Ukéréoué. — Une nuit dans une île. — L’équateur. — Traversée du lac. — Les cascades. — Vue du pays. — Les sources du Nil. — L’île Benga. — La signature d’Andrea Debono. — Le pavillon aux armes d’Angleterre.
Le Nil. — La Montagne-Tremblante. — Souvenir du pays. — Les récits des Arabes. — Les Nyam-Nyam. — Réflexions sensées de Joe. — Le Victoria court des bordées. — Les ascensions aérostatiques. — Madame Blanchard.
La bouteille céleste. — Les figuiers-palmiers. — Les « mammouth trees ». — L’arbre de guerre. — L’attelage ailé. — Combats de deux peuplades. — Massacre. — Intervention divine.
Rumeurs étranges. — Une attaque nocturne. — Kennedy et Joe dans l’arbre. — Deux coups de feu. — À moi ! à moi ! — Réponse en français. — Le matin. — Le missionnaire. — Le plan de sauvetage.
La gerbe de lumière. — Le missionnaire. — Enlèvement dans un rayon de lumière. — Le prêtre lazariste. — Peu d’espoir. — Soins du docteur. — Une vie d’abnégation. — Passage d’un volcan.
Colère de Joe. — La mort d’un juste. — La veillée du corps. — Aridité. — L’ensevelissement. — Les blocs de quartz. — Hallucination de Joe. — Un lest précieux. — Relèvement des montagnes aurifères. — Commencement des désespoirs de Joe.
Le vent tombe. — Les approches du Désert. — Le décompte de la provision d’eau. — Les nuits de l’Équateur. — Inquiétudes de Samuel Fergusson. — La situation telle qu’elle est. — Énergiques réponses de Kennedy et de Joe. — Encore une nuit.
Un peu de philosophie. — Un nuage à l’horizon. — Au milieu d’un brouillard. — Le ballon inattendu. — Les signaux. — Vue exacte du Victoria. — Les palmiers. — Traces d’une caravane. — Le puits au milieu du désert.
Cent treize degrés. — Réflexions du docteur. — Recherche désespérée. — Le chalumeau s’éteint. — Cent vingt-deux degrés. — La contemplation du désert. — Une promenade dans la nuit. — Solitude. — Défaillance. — Projets de Joe. — Il se donne un jour encore.
Chaleur effrayante. — Hallucinations. — Les dernières gouttes d’eau. — Nuit de désespoir. — Tentative de suicide. — Le simoun. — L’oasis. — Lion et lionne.
Soirée délicieuse. — La cuisine de Joe. — Dissertation sur la viande crue. — Histoire de James Bruce. — Le bivouac. — Les rêves de Joe. — Le baromètre baisse. — Le baromètre remonte. — Préparatifs de départ. — L’ouragan.
Symptômes de végétation. — Idée fantaisiste d’un auteur français. — Pays magnifique. — Le royaume d’Adamova. — Les explorations de Speke et Burton reliées à celles de Barth. — Les monts Atlantika. — Le fleuve Benoué. — La ville d’Yola. — Le Bagélé. — Le mont Mendif.
Mosfeia. — Le cheik. — Denham, Clapperton, Oudney. — Vogel. — La capitale du Loggoum. — Toole. — Calme au-dessus du Kernak. — Le gouverneur et sa cour. — L’attaque. — Les pigeons incendiaires.
Départ dans la nuit. — Tous les trois. — Les instincts de Kennedy. — Précautions. — Le cours du Shari. — Le lac Tchad. — L’eau du lac. — L’hippopotame. — Une balle perdue.
La capitale du Bornou. — Les îles des Biddiomahs. — Les gypaètes. — Les inquiétudes du docteur. — Ses précautions. — Une attaque au milieu des airs. — L’enveloppe déchirée. — La chute. — Dévouement sublime. — La côte septentrionale du lac.
Conjectures. — Rétablissement de l’équilibre du Victoria. — Nouveaux calculs du docteur Fergusson. — Chasse de Kennedy. — Exploration complète du lac Tchad. — Tangalia. — Retour. — Lari.
L’ouragan. — Départ forcé. — Perte d’une ancre. — Tristes réflexions. — Résolution prise. — La trombe. — La caravane engloutie. — Vent contraire et favorable. — Retour au sud. — Kennedy à son poste.
L’histoire de Joe. — L’île des Biddiomahs. — L’adoration. — L’île engloutie. — Les rives du lac. — L’arbre aux serpents. — Voyage à pied. — Souffrances. — Moustiques et fourmis. — La faim. — Passage du Victoria. — Disparition du Victoria. — Désespoir. — Le marais. — Un dernier cri.
Un rassemblement à l’horizon. — Une troupe d’Arabes. — La poursuite. — C’est lui ! — Chute de cheval. — L’Arabe étranglé. — Une balle de Kennedy. — Manœuvre. — Enlèvement au vol. — Joe sauvé.
La route de l’ouest. — Le réveil de Joe. — Son entêtement. — Fin de l’histoire de Joe. — Tagelel. — Inquiétudes de Kennedy. — Route au nord. — Une nuit près d’Aghadès.
Traversée rapide. — Résolutions prudentes. — Caravanes. — Averses continuelles. — Gao. — Le Niger. — Golberry, Geoffroy, Gray. — Mungo-Park. — Laing. — René Caillié. — Clapperton. — John et Richard Lander.
Le pays dans le coude du Niger. — Vue fantastique des monts Hombori. — Kabra. — Tembouctou. — Plan du docteur Barth. — Décadence. — Où le Ciel voudra.
Inquiétudes du docteur Fergusson. — Direction persistante vers le sud. — Un nuage de sauterelles. — Vue de Jenné. — Vue de Ségo. — Changement de vent. — Regrets de Joe.
Les approches du Sénégal. — Le Victoria baisse de plus en plus. — On jette, on jette toujours. — Le marabout El-Hadji. — MM. Pascal, Vincent, Lambert. — Un rival de Mahomet. — Les montagnes difficiles. — Les armes de Kennedy. — Une manœuvre de Joe. — Halte au-dessus d’une forêt.
Combat de générosité. — Dernier sacrifice. — L’appareil de dilatation. — Adresse de Joe. — Minuit. — Le quart du docteur. — Le quart de Kennedy. — Il s’endort. — L’incendie. — Les hurlements. — Hors de portée.
Les Talibas. — La poursuite. — Un pays dévasté. — Vent modéré. — Le Victoria baisse — Les dernières provisions. — Les bonds du Victoria. — Défense à coups de fusil. — Le vent fraîchit. — Le fleuve du Sénégal. — Les cataractes de Gouina. — L’air chaud. — Traversée du fleuve.
Conclusion. — Le procès-verbal. — Les établissements français. — Le poste de Médine. — Le Basilic. — Saint-Louis. — La frégate anglaise. — Retour à Londres.

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